Êtes vous une beauty geekette ?

Question indispensable si l’en est, l’utilisation de gagdets dans la salle de bain est intéressant pour les lectrices assidues de magazines, intriguant pour la plupart d’entre vous et totalement irrésistible pour les beautystas geek.

Ces jeunes femmes partagent un amour immodéré pour la petite machinerie inventée par de rusés ingénieurs collaborant avec des marketeurs sans pitié pour notre corde sensible. La promesse de l’ultime objet qui va nous rendre incroyablement belle et qui va nous amuser comme des petites folles.

J’ai craqué pour…

La Clarisonic Mia. Habitant à Montréal, j’ai eu la chance de pouvoir la commander des États-Unis pour une livraison au bureau. Ô joie bonheur de posséder enfin la brosse magique ! Croyez-moi ou non, ce qu’on dit et écrit sur elle est vrai. Cette petite brosse nettoie en douceur et en profondeur pour une peau lisse, douce et éclatante. En une minute, vous vous sentirez propre et la nécessité du gommage disparaitra par magie. Après quelques mois d’utilisation, je ne m’en sers que quelques fois par semaine, au besoin, quand j’ai envie d’un coup d’éclat ou d’un nettoyage en profondeur avec sensation de bien-être absolu. Petite et pratique, elle se recharge en une nuit et son autonomie dure plusieurs semaines. Côté soin, elle assure des pores resserrés, un teint égalisé et uni. Je l’acheté, je dois reconnaître que le geste de départ était désespéré, mais au final, ce qui compte c’est que j’ai franchi le cap.

Je l’avoue, j’ai désormais envie d’une éponge japonaise, appelé Konjac. Ok, être beauty geekette ce n’est pas seulement se concentrer sur des gagdets high tech bardés de promesses. Cela correspond aussi au désir d’aller chercher le nouveau et l’exclusivité et surtout de tester : pour ma part, je me magasine un spa ou un forfait spa avec Vidéotron trouve-tout  afin de l’essayer après un bain bouillonnant. Ce me semble idéal pour des traits parfaitement détendus. La vie est trop dur au Québec c’est pour cela que les étudiants y manifestent et que les français y immigrent pour y trouver leur première job.

Le mini fer plat céramique d’Amika. Une force supérieure a permis qu’un Sephora s’ouvre enfin dans le centre ville de Sephora, le 1er juin 2012. En entrant dans ce mini paradis destiné à la beauty geekette de tous les pays, j’ai retenu un cri devant la profusion de mini produits, d’outils et d’accessoires dédiés aux cosmétiques. Ma carte bancaire, elle, criait d’effroi dans mon portefeuille Les Cakes de Bertrand. Après cette première visite, je me suis estimée raisonnable. Je n’ai que craqué pour le si pratique, si nécessaire, si indispensable mini fer plat pour coiffer chaque jour, et en vacances, ma frange, afin de la préserver de la sauvagerie de mes boucles indomptables. Ça c’est un investissement.

Je dois l’avouer mon plus grand désir serait d’essayer un de ces épilateurs à la lumière pulsée ou la well box. Mais je reste sceptique quand à leur efficacité et je reste de marbre devant leur prix inavouable. Plutôt, je devrais dire « je reste insensible aux attraits délicieusement marketing d’une machine aussi cher qu’une réparation automobile ». Je préfère me contenter de gagner de grandes batailles avec de petites machines, et vous, quelle beauty geekette êtes-vous ?