Là, mon chéri, il va falloir mouiller le maillot. J'aurai pu te dire, mouiller la chemise dont je t'ai déjà parlé. Mais comme il s'agissait de sport ! Allez, c'est le jour ou jamais de te donner à fond. La finale de ton tournoi de tennis vaut bien ça !
- Il va même falloir que tu te mouilles, que tu prennes des risques.
- Que tu te mouilles jusqu'au cou, que tu t'impliques complétement.
- D'autant plus que tu tout mouillé, au maximum de ton poids, tu n'es qu'une plume par rapport à ton adversaire.
- Il sent un peu le chien mouillé, pas très bon. Mais c'est une autre paire de manches...
- Au départ, les organisateurs avaient choisi les adversaires au doigt mouillé, à la courte-paille ? Pourquoi pas ?
- Il pleut, il mouille, c'est la fête à la grenouille : http://www.teteamodeler.com/vip2/nouveaux/expression/fiche184.asp, charmante comptine de notre enfance. Mais en attendant, nous allons être mouillés jusqu'aux os, complètement trempés!
- Pas de lessive mais : Mouiller sa chemise
- Quand tu es un adulte et que tu as dépensé tout ton argent, tu as intérêt à travailler dur, à mouiller ta chemise, à retrousser tes manches pour te remettre à flot. Et toi, à me rendre de petits services que je te paierai à leur juste prix. Néanmoins, je te ferai écouter cette chanson de Marie Laforêt qui s’intitule “Cadeau” : http://www.dailymotion.com/video/xiyug_marie-laforet-1974-cadeau
- Tu changes d’avis aussi souvent que de chemise : un peu trop souvent à mon gré.
- Ton père est en bras de chemise : il a tombé la veste.
- Un nègre en chemise : c’est bon ça ! Une meringue enrobée de chocolat craquant. Je prends !
- Laisser jusqu’à sa dernière chemise : tout perdre.
- Se moquer d’une chose comme de sa première chemise : totalement.
- Cette expression va te faire rire (et j’aime ça) : “Etre comme cul et chemise”. C’est être très amis.