Samedi prochain, la fête est programmée au Stade de France, pour le match qui opposera les deux stades, le Français et le Toulousain.
Un fois de plus, l’enceinte dionysienne sera comble pour accueillir une " simple " rencontre de Top14, qui devrait s’accompagner des habituels karaoke et autres mini-spectacles destinés à amuser et occuper les spectateurs entre deux mi-temps de rugby.
Pourtant, Max Guazzini, le président du Stade Français, n’est pas content. Pas en raison du temps prévu samedi soir (il devrait pleuvoir), mais à cause des récentes déclarations du manager du Stade Toulousain. Celui-ci a déclaré qu’il viendrait à Paris avec une équipe " bis ". Les motifs avancés sont pourtant respectables : fatigue du tournoi pour les internationaux, blessures multiples, choix de privilégier des matches plus importants en vue de la qualification pour les demi-finales du championnat.
Ces arguments n’ont pas du tout convaincu le sémillant président Guazzini, qui a reproché aux Toulousains de " galvauder " (SIC) un match, au Stade de France, qui plus est.
Galvauder.
Ce mot est décidément à la mode dans le rugby Français. Après un Lièvremont qui " galvaude " le Tournoi, voici maintenant le Novès pour la version " Top14 " du galvaudage.
Evidemment, les amateurs comme les supporters, auraient souhaité voir la meilleure équipe Toulousaine se présenter sous les projecteurs du Stade de France. Mais la " gestion des priorités ", dans un calendrier démentiel, est une réalité du rugby professionnel, au développement duquel, au passage, Max Guazzini a lui-même contribué.
De surcroît, on remarquera que le Stade Français n’a pas envoyé sa meilleure formation en Auvergne pour y rencontrer Clermont dimanche dernier. Et cela pour des motifs qui ne sont pas fondamentalement éloignés de ceux qui président aujourd’hui à la décision de Guy Novès.
Samedi prochain, la fête est programmée au Stade de France, pour le match qui opposera les deux stades, le Français et le Toulousain.
Un fois de plus, l'enceinte dionysienne sera comble pour accueillir une " simple " rencontre de Top14, qui devrait s'accompagner des habituels karaoke et autres mini-spectacles destinés à amuser et occuper les spectateurs entre deux mi-temps de rugby.
Pourtant, Max Guazzini, le président du Stade Français, n'est pas content. Pas en raison du temps prévu samedi soir (il devrait pleuvoir), mais à cause des récentes déclarations du manager du Stade Toulousain. Celui-ci a déclaré qu'il viendrait à Paris avec une équipe " bis ". Les motifs avancés sont pourtant respectables : fatigue du tournoi pour les internationaux, blessures multiples, choix de privilégier des matches plus importants en vue de la qualification pour les demi-finales du championnat.
Ces arguments n'ont pas du tout convaincu le sémillant président Guazzini, qui a reproché aux Toulousains de " galvauder " (SIC) un match, au Stade de France, qui plus est.
Galvauder.
Ce mot est décidément à la mode dans le rugby Français. Après un Lièvremont qui " galvaude " le Tournoi, voici maintenant le Novès pour la version " Top14 " du galvaudage.
Evidemment, les amateurs comme les supporters, auraient souhaité voir la meilleure équipe Toulousaine se présenter sous les projecteurs du Stade de France. Mais la " gestion des priorités ", dans un calendrier démentiel, est une réalité du rugby professionnel, au développement duquel, au passage, Max Guazzini a lui-même contribué.
De surcroît, on remarquera que le Stade Français lui-même n'a pas envoyé sa meilleure formation en Auvergne pour y rencontrer Clermont dimanche dernier. Et cela pour des motifs qui ne sont pas fondamentalement éloignés de ceux qui président aujourd'hui à la décision de Guy Novès.