John F. Burns, l'un des panélistes et correspondant du New York Times à Londres, répondait que ça n'était pas vrai ; que des scientifiques britanniques se trouvait un peu partout dans les grands instituts de recherche américains (un signe de fuite massive des cerveaux, pas vrai ?) et qu'en course automobile, que ce soit Indianapolis ou Formule Un, les châssis du Royaume-Unis continuaient de dominer sur les circuits ...
Des arguments assez minces qui indiquent que, dans quelques décennies, l'ancien Empire, tout comme aujourd'hui la Grèce, ne sera guère plus qu'une destination touristique. D'ici là, les Britanniques on donc intérêt à bien bichonner leur famille royale !