Social recruiting, recrutement 2.0, recrutement social... les appelations sont nombreuses pour désigner un mode de recrutement axé sur l'usage des médias sociaux.
Le #SRChat (Social Recruiting Chat) d'hier (tous les Mercredis de 20h à 21h sur Twitter) se concluait sur l'appel aux racines du recrutement, à savoir un échange entre personnes réelles.
L'ATS (Application Tracking System) était majoritairement remis en cause. Est-ce un outil permettant de développer des relations (dans le cadre de l'optimisation de l'expérience-candidat) ? De prendre en compte des profils plus atypiques ?
Est-ce un passage obligatoire ? Quand encourager les candidats à passer par l'ATS ?
Le point de convergence résidait dans la nécessité d'entamer des échanges bien avant d'entrer dans la phase transactionnelle amenant à la négociation et la signature du contrat de travail. La phase d'échanges intervenant en amont, est là pour "aider" les candidats à faire un choix le plus cohérent possible en lui fournissant des éléments de culture d'entreprise par exemple.
Vers une redéfinition du "recrutement social" ? Oui ! Avec un focus plus important sur l'état d'esprit impliquant des actions dans la durée et la notion de réseau relationnel, plutôt que d'amassement de profils.
Le recrutement dit "social" n'a rien à voir avec les outils. Le terme "social" renvoie à la dynamique de groupe, de communautés (à un certain degré), d'échanges et de liens.
(crédit photo)