« On avait décidé de prendre le temps de la réflexion avant de concrétiser. Mais il m’est apparu dimanche qu’il fallait agir plus vite, et ne plus donner l’impression de tergiverser ou de spéculer sur un éventuel renvoi d’Eric Gerets au Maroc. J’en ai fait part au président et tout s’est accéléré avec la conclusion que vous connaissez » a-t-il déclaré en conférence de presse.
« Je pense que notre timing a été le bon. On nous aurait reproché de ne pas contacter Preud’Homme et Gerets, et de ne pas examiner toutes les candidatures. Certaines étaient de la plus haute qualité. On ne manquera d’ailleurs pas d’y répondre en remerciant pour l’intérêt manifesté… Mais le choix de Marc n’a jamais été remis en cause. Les deux matches à la tête de l’équipe contre le Monténégro et à Wembley n’étaient pas des examens. Ils devaient juste confirmer notre décision… » a-t-il ajouté.