Alors que, longtemps, la fonction marketing a été protégée et paisible, elle est, pour ces raisons, au cœur du cyclone du changement. C’est une « tempête parfaite », diraient les Américains.
- En Occident, le marché ne croît plus. Or, les budgets marketing, par exemple dans la grande conso, sont colossaux. De même que l’on a fait brûler du Templier, il devient tentant de réduire ces dépenses.
- Le marketing doit vivre à l’ère d’Internet, ce qui lui demande une réactivité inconnue jusque-là et la fusion de fonctions imperméables les unes aux autres (y compris, d'ailleurs, non marketing, telles les systèmes d'information).
Si vous venez à cette conférence, je vous dirai mes idées sur les techniques de « réinvention » d’un processus, pour le rendre « considérablement » plus productif, et comment mener le changement que cela signifie… (Cliquer ici pour s'inscrire.)