Grâce à la contre-enquête pénale d'un détective, Michel Diaz et son beau-père, qui avaient été condamnés en première instance à quatre ans de prison au motif qu'ils auraient incendié leur société en 2005 en vue de percevoir un remboursement de leur compaganie d'assurance, ont été relaxés par la Cour d'appel de Bordeaux.
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