Parmi vos amis et/ou connaissances, vous avez forcément ce néo hippie limite hipster totalement branché bio etnourriture constructive. Non cela ne veut strictement rien dire mais ce n’est pas très grave, vous avez tous identifié le stéréotype dont je voulais vous parler.
Eh bien dans la même veine de l’activisme « retour aux plantes » on peut désormais compter sur le truculent collectif new yorkais Mosstika. Ce regroupement d’artistes à la main verdoyante se permet une guérilla urbaine pour supplanter le gris et rapprocher l’homme de la nature.
Leur fond de pensée : Si chacun cultivait un bout de jardin, nous entretiendrions des relations plus équilibrées les uns avec les autres. Concept territorial de la propriété absolue, monde consumériste etc… Sans doute. Mouais.
En fait d’activisme, c’est plutôt la technique qui m’a fait rêver : Oui ce fameux vieux fantasme de pouvoir dessiner avec de la pelouse. Le terreau doux à même de salir mes petites mains ferventes actrice de cettemanifestation herbale… Je m’en régale déjà les bacs à fleurs.
Si vous voulez jeter un oeil à leurs différentes performances, c’est juste là :