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Desperate Housewives – Saison 8

Par Mg

Clap de fin sur les aventures de nos femmes au foyer pas si ennuyées. Après 8 années de service, les voici qui rendent leur tablier. Huit saisons où on aura connu des explosions, des tornades, des crashs d’avions, des divorces, des mariages, des naissances, des secrets… Non, en version moderne (et non dénué d’humour noir) du soap à l’américaine, DESPERATE HOUSEWIVES aura offert quelques belles heures de télévision. Au détriment de dernières saisons sans réels risques.

En 8e année, les quatre DESPERATE et demi (il y a toujours une presque-cinquième alliée) se liguent pour protéger leur dernier secret ; la mort accidentelle de l’ancien beau-papounet de Gabrielle, tué en fin de saison 7 par Carlos. Bref, rien de mieux pour les voir tourner en rond dans leur rue, se protéger ou s’opposer. Bref, les scénaristes ont décidés d’en revenir aux fondamentaux, les quatre amies. Tissez autour de ça des intrigues secondaires assez adultes (pour mieux marquer le coup d’une dernière saison), comme l’arrivée en masse d’une troisième génération (les DESPERATE, mamies? Bree l’était déjà), et des histoires de couples dont on sait qu’elles finiront bien, on regarde donc sans attendre quoique ce soit.

Les fans y trouveront leur contentement, les autres moins, mais après quelques centaines d’épisodes on comprendra qu’il est difficile de se rattacher au wagon. Hors les classiques coups de théâtre (attendus aussi), DESPERATE HOUSEWIVES se clôture sur une dernière année en ligne droite, uniforme en rythme et contenu. Reste le fait de voir partir une des séries qui avait démarré au début de la grande mode télévisuelle, avec ses amis 24 et autres. On aura apprécié l’humour, on aura attendu beaucoup, mais au final c’est sans regret qu’on les laisse partir. Fin du chapitre.


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