Cela ne veut pas dire que je nie le malheur. J'ai, au contraire, une vive conscience du fait que la souffrance fait partie du jeu. Et il me semble, d'ailleurs, que l'accepter plutôt que de s'en plaindre permet d'apprécier plus vivement chaque instant agréable qui passe. Parce que la joie de vivre se niche surtout dans ces moments simples.
ANAÏS CROZE