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En vain, je médite à loisir
A côté de l’étang solitaire,
Danse la lumière
Je veux trouver cet endroit secret
Tout au fond du miroir
Où rien ne saura me déplaire
En vain, je médite à loisir
Ne voulant rien savoir d’ailleurs
Je suspends le monde à la lumière,
Porte bonheur ou porte douleur
Qui suis-je pour dire ?
En vain, les mots n’y changeront rien.
Je n’ai pas la tournure à faire semblant
Et je me tais au cœur du chaos
En vain je médite à loisir
Et reste solitaire
Là où rien ne saura me déplaire.
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 23 mars à 09:12
Une telle poèsie mérite d'être signalée..