Bonjour à tous !
Le temps me manque pour rédiger mes habituels commentaires de lecture. Aujourd’hui, je stoppe le temps, délaisse les boites à remplir (déménagement oblige !), pour vous aviser que dans environ une heure, je serai débranchée d’Internet jusqu’au 6 juin. Axion, mon câblo-distributeur offre ce service une seule fois par mois, à la fin de celui-ci. À noter que le 6 juin, je vous écrirai de Cowansville.
Nous avons vendu officiellement la maison aujourd’hui, nous achetons l'élue de notre coeur officiellement lundi et déménageons mardi, le 5 juin. Monsieur Vidéotron viendra nous brancher le 6. Voilà ! Vous voyez que ces temps-ci, notre vie se résume en chiffres plus qu’en mots ! D’ailleurs, pour en ajouter un, un chiffre, nous en sommes à 80 boites et nous atteindrons le chiffre fatidique de 100 boites, c’est certain. Voilà ce que ça donne d’avoir 5 bibliothèques dans une maison !
Je lis toujours, presque autant qu'en temps normal, c’est le temps de rédiger qui me manque. J’ai pris du retard dans mes commentaires, plus qu’il n’y parait car, en plus des 3 titres à droite, j’ai terminé Tous les corps naissent étrangers, premier roman de Hugo Léger et Quelque chose comme une odeur de printemps, premier roman de Annie-Claude Thériault. En ce moment, je suis à lire le deuxième roman de Nadia Gosselin, L’amour n’est rien.
Ensuite, je me payerai la traite avec deux auteures de la région, entamant le deuxième de la trilogie Dragonville « Encre » de Michèle Plomer, puis, suivra de près, Yukonnaise de Mylène Gilbert-Dumas.
Cowansville est une ville à la limite de l’Estrie et de la Montérégie, 12,000 habitants, un hôpital, un lac, une prison, une rivière, une rue partiellement patrimoniale (nous l’habiterons dans sa partie non patrimoniale), une MRC, un Palais de justice, deux vignobles, un Festival de musique, un golf, un centre de la nature, des arbres centenaires.... et hop, le reste, nous le découvrirons !
J’ai très hâte de vous réécrire, ce qui voudra dire que le plus gros du cafouillis, barda, bouleversement, sera dernière nous, et surtout ce fameux stress d'arriver en même temps que les camionneurs !
J'ai hâte de me déballer, car incroyable, comment c'est plus emballant ! On construit, au lieu de déconstruire.
Ah oui ! J'oubliais. L'actualité m'interpelle beaucoup ces temps-ci ...hum, pas la seule n'est-ce pas ? Un texte @Voir Chez Venise "Plusieurs mains sur le volant".
À bientôt chers amis lecteurs !