OUI. Il est encore possible de faire une moyenne annuelle de 7% par année avec ses placements. Mais ça demande de la retenue. C’est quand vous changez constamment de stratégies que vous vous pénalisez. Des dizaines de fonds communs de marque connue et inconnue le réalisent. Vous ne le savez pas, parce que ça ne fait pas les manchettes ou d’ordinaire, ça n’intéresse pas beaucoup la foule.
Voici 5 fonds de revenu et croissance, donc diversifiés qui affichent TOUS une moyenne annuelle de plus de 7% NET de frais depuis plus de 15 ans!
CI Signature Revenu élevé
TD Croissance du Dividende
Standard Life Croissance du Dividende
Renaissance Millénium revenue élevée
Dynamique Dividende
Voici 5 fonds d’actions canadiennes qui dépassent les 7% NET de moyenne annualisée depuis plus de 15 ans.
IA Clarington Actions canadiennes conservatrices
Mawer Actions canadiennes
BIssett Actions canadiennes
Fidelity Frontière Nord
Mackenzie Saxon fonds d’actions
Pourquoi aujourd’hui faire 7% cela semble si extraordinaire?
Mais parce que la plupart des investisseurs ont les yeux rivés sur le plancher. Tenons-nous debout, et nous verrons les motifs de la mosaïque! Ce n’est pas parce que le taux directeur des banques centrales est au point de congélation qu’il l’a toujours été et le restera! Le même constat s’applique aux actions et aux obligations. Ce n’est pas parce que les NOUVELLES obligations ne payent pas beaucoup et les anciennes, en circulation ou les obligations de sociétés sont au neutre! Pas du tout! L’extrapolation est le pire crime de Lèse-Majesté de l’investisseur. On ne peut pas projeter dans le futur ni les périodes extraordinaires ni les très pénibles.
Celui qui a des attentes de 20 ou 30% sera facilement déçu. Celui qui ne souhaite que réaliser des coups de circuit mensuels le sera davantage.
Enfin, un facteur non négligeable; le pessimisme des parquets boursiers se lit dans les yeux de celui qui ne fixe que les indices comme le TSX, le Dow Jones, le S&P 500, le CAC40 et j’en passe. Parmi les 50 000 titres négociés publiquement, des milliers sont positifs, offrent des dividendes formidables et un risque moindre. Évidemment pour les dénicher, ça prend une méthode, un processus, de l’expérience et de l’intuition. C’est ce que les fonds indiciels FNB ne procureront jamais.
Dans les marchés haussiers, tout le monde fait de l’argent et n’importe qui est tenté d’échanger son fonds commun «pépère» qui fait SEULEMENT 7% de moyenne pour la séduisante ETF aurifère ou immobilière ou quelques secteurs à la mode. Mais quand le marché perd le nord, comme en ce moment… on en oublie ce qui fonctionnait bien et qui fonctionne encore. Les vieux fonds pépères gardent le cap et sélectionnent avec minutie les titres de qualité abandonnés par les suiveux, maintenant devenus peureux.
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