Tu as raison, laisse filer. Fais le gros dos. Attends que l'orage passe.
- On t'a mis plein de choses sur le dos, tout un tas de sottises dont, je le sais, tu n'es pas responsable.
- Prétexte pour te tomber sur les dos. Insinuer que tu es coupable et te faire payer pour eux.
- Agir dans le dos des autres, hypocritement, c'est tout ce qu'ils savent faire tes petits camarades.
- Si ta politique de surdité ne marche pas, il te faudra leur tourner le dos. En arrêtant de les fréquenter tu leur marqueras ton mépris et ton dédain pour leur attitude.
- Déjà parlé de : Etre dos au mur
- Plus moyen de reculer : tu es dos au mur. Il va falloir prendre une décision et vite. Parce que, devant, l’horizon est bouché aussi. Je t’avais déjà parlé de “être au pied du mur”, aujourd’hui, la situation est encore pire. Plus aucune échappatoire.
- Tu peux faire le gros dos, attendre que ça se passe. Mais à mon avis ça ne t’avancera pas à grand-chose.
- Etre fusillé dos au mur, rien que d’y penser, j’en ai froid dans le dos, je me sens mal...
- Il faudrait parfois avoir des yeux dans le dos, arriver à voir tout ce qui se passe, à être au courant de tout.
- Utile pour ne pas se faire faire un enfant dans le dos, se faire surprendre, se faire avoir. Comme par ces femmes qui pour retenir un amant n’hésitent pas à se faire mettre enceinte. Et se font plaquer quand même... Je ne les plains pas vraiment, mais pauvre gosse !
- Dans cette dispute entre ton frère et toi, puisque vous me prenez pour arbitre, je vais vous renvoyer dos à dos : je ne vais pas donner raison à l’un plutôt qu’à l’autre. Je vais simplement vous dire que le sujet de votre discorde est bien futile et qu’il ne nécessite pas une telle histoire.