La réussite @Disneyland California.
Aucune de ces légendes n ‘a jamais été vérifiées.
Mais la société semi-secrète du Club 33 ne fait pas partie de ces mythes infondés.
Si vous connaissez l’existence de ce club privé, good for you ! On se reparle plus tard.
Si vous ne la connaissez pas, vous faites simplement partie de la majorité de la population française.
En effet, c’est avec la plus grande discrétion que l’entreprise Disney a créé et fait vivre de 1967 à nos jours ce club privé réservé à 450-500 membres secrets, y ayant pendant longtemps interdit l’introduction d’appareils photos et de caméras.
Vous n’avez jamais entendu parlé du Club 33 ? C’est normal, le lieu très select n’a que très rarement été mentionné dans les brochures promotionnelles du parc.
Vous n’en avez jamais remarqué la devanture lors de l’une vos joviales visites familiales/amicales ? Rien d’étrange, là encore. Les ingénieurs de la marque auraient fait recouvrir la façade de l’établissement d’une couleur très précise, proche d’un bleu passé, qui serait la moins remarquée par l’œil humain !
C’est presque secret, on vous dit…
Que trouver dans cet antre de la hypitude Mickey Mousienne ?
Une multitude de photos, objets et dessins vintage sur l’entreprise aux grandes oreilles, un grand nombre d’animaux empaillés – dont un vautour orné d’un micro qui écoute et répond aux discussions des clients en train de diner -, une puissante atmosphère de prohibition et surtout, SUR-TOUT, de l’alcool, denrée introuvable dans tout le reste du parc.
Ca y est ? Vous aussi vous voulez en être, tout comme en ont été Ronald Reagan, Grace Kelly, Mickael Jackson et bien d’autres ?
Ca tombe bien ! Cette année, pour la première fois en 10 ans, à l’occasion des 45 ans du club, la liste d’attente est ouverte à de nouveaux membres ! (car oui, comptez généralement 5 à 10 ans d’attente avant que votre demande parrainée ne soit prise en compte).
Il ne vous en coûtera que 25 000$ de mise initiale puis 10 000$ par an.
No joke.
Ah, et sinon, non, Walt Disney n’a pas été cryogénisé à sa mort. Ca, c’est bien une légende urbaine.