**Le mec de la tombe d'à côté de Katarina Mazetti**

Par Strawberry @strawfraise

Résumé :

Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'oeil de la stèle qu'il fleurit assidûment.

Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie.

Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent touts deux éblouis... C'est le début d'une passion dévorante. C'est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d'amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.

Mon avis :

Tout d'abord je trouve que le titre en va pas avec l'histoire. Je me demandais ce que voulais dire ce titre, j'en avais tellement que du bien. J'ai pas trouvé que c'était si extraordinaire que ça. Je pensais que Désirée et Benny auraient des sentiments l'un pour l'autre, leur relation est basée sur l'amour physique. C'est vrai que leur rencontre dans un cimetière est originale, au fil des pages l'histoire est pleine d'humour. Chaque chapitre est consacré à l'un puis à l'autre, pour mieux se mettre dans a peau du personnage, leur mode de vie, leur passion, voir ou le dénouement de tout celà va les mener. Les protagonistes m'agacent par moment . Tout devient confus. La fin est décevante, je ne pensais pas que ça se terminerait comme ça. J'ai passé quand même un bon moment, une histoire pour se détendre.

Ce livre a été lu dans le cadre d'une lecture commune pour le 31/05/2012 sur le forum aux mille et une pages. Pour participer clique sur le logo ci-dessous merci.