Mes motivations de bloggueuse

Cher internaute,

Je t’écris par la faute de Cathy d’Opéra Print, tu sais, ma cliente qui travaille pour un site d’imprimerie en ligne. Je n’aurai aucun secret, et vais me plier à décrire mes motivations de bloggueuse du mieux que je peux (et avec la tête embuée par une bonne rhinite).

C’est dire si je suis motivée. D’ailleurs, tout le monde pourra constater que j’essaie toujours de relever les défis, même les plus farfelus.

Enfin, bref. Si je t’écris aujourd’hui, c’est pour te révéler les motivations profondes de ma vie de bloggueuse, vu que Cathy m’a incitée forcée à t’en parler.

Je vais jouer de la carte de la transparence, c’est aussi pour ça que tu m’apprécies (enfin, j’espère)

Ma motivation numéro 1 est totalement intéressée.

Le référencement (eh oui, tu croyais quoi?) 

Je nourris Google. Je lui donne du contenu croustillant à se mettre dans le ventre et il en redemande, le gourmand.

Attention, je ne pense cepandant pas qu’à moi : j’essaie de faire profiter de cette politique de jeux de mots à d’autres personnes au travers d’interviews ou  de giveaways. Je suis une machine à produire du lien, à faire des ponts entre deux sites distincts, à tisser des fils visibles sur la Toile pour que l’ami Google m’aime bien.

Je suis une rédactrice de contenus web (allez zou, ça commence) qui tente de sa la jouer façon Spiderman avec tissage de mini-toile sur la Toile géante et qui espère arriver au sommet du piège sans passer par la case Panda ou Penguin.

Pour ceux qui ne connaissent pas les sbires de l’ami Google, sachez que le Panda fait mal avec ses griffes et le Penguin, sous son air sympatoche, il casse du site, le rétrograde dans les catacombes du Net. Autant ne pas rigoler avec lui.

Motivation numéro 2 : vous faire rire.

Drôle de Plume, ta bloggueuse qui te veut du bien…

J’aime à croire que tu me lis par plaisir et non sous la torture. Je sais que je pourris pas mal ton fil d’actualité Facebook. Et si ça t’agace, désabonne toi. Parce que je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin et ma tâche de répandre la Bonne Nouvelle Humoristique est loin d’être terminée.

Arriver à te faire sourire, c’est mon challenge. Tel un vampire assoifé de sang, je me nourris de ton rire, de tes « ohhhhh, non, sérieux, n’importe quoi! » ou de ton « ton style pisse la ligne ». J’ai écouté toutes tes critiques, mais j’ai gardé mon style, parce qu’heureusement, tu l’aimes bien, au final.

Sous mes airs de ne pas y toucher, j’essaie de te parler de ta vie, et de dédramatiser des moments compliqués. Je suis parfois maladroite, et tu peux même me reprocher l’utilisation du mot « nain » ou ma campagne de désinformation concernant tout ce qui touche la cuisine…

Mais tu souries, un peu, beaucoup, à peine, en cachette, à pleine bouche ou franchement, et ça, ça me plaît. Merci.

Ce qui m’amène au point numéro 3 de pourquoi je tiens ce blog :

La rédaction et l’échange : deux mots clé dans ma vie de bloggueuse !

La rédaction. Je ne t’apprends rien. Je rédige pour toi, pour mes clients, pour amis. Je te parle de la pluie et du beau temps, des vampires (un jour viendra), de ton congé parental, de ton baby blues ou de tes points de suture.

Je promène ma plume sur des contenus Internet aussi. Et je suis contente que mes clients affichent haut et fort les textes que je leur ai écrits sur leurs sites web, c’est ma victoire dans le monde de l’écriture.

Quant à l’échange…Rien n’est plus gratifiant. Tu es là, cher internaute, caché derrière ton ordinateur. Tu sors parfois de ta condition d’anonyme et viens déverser tes idées spontanées sur mon flux de commentaires.

Parfois, tu t’insurges. Parfois, tu me montres ton soutien. Que tu me complimentes ou me descendes en flèche, j’aime que tu te manifestes (ok, je préfère les fleurs aux orties, j’avoue).

Continue donc à me faire sentir que tu es là, derrière chaque mot. Pleure si tu as envie de pleurer. Rigole si mes mots t’ont touché, hurle, râle…Bref, sois toi.

Parce que ma mission de bloggueuse, c’est tout ça. Découvrir un peu de toi derrière chacun de mes articles et vivre à travers toi mon petit bonhomme de chemin de rédactrice.

Je ne sais pas si j’ai joué le jeu comme il faut. Dans tous les cas, je demande solennellement à Rashel de StudioXine et Fany Vereecken de répondre à cette même question sur leurs blogs !