les prix augmentant de 10 % sur l’année et le nombre de transactions repartaient à la hausse. Qu’en est-il deux ans plus tard ? Après une année 2011 qui a comptabilisé un niveau record de transactions, avec 858 200 ventes contre 837 000 en 2006, précédent record, la France, entrée dans un cycle baissier, selon les Notaires de France.
Immobilier : l’exception parisienne
(1) Les taux d'intérêt des crédits immobiliers restent à leur niveau actuel et la prochaine législation sur les loyers n'est pas dissuasive pour les investisseurs. La baisse des transactions des logements anciens serait alors limitée entre 10 % et 15 % en 2012, et le volume des ventes s’élèverait entre 700 000 à 740 000 transactions.
(2) Les taux d’intérêt des crédits augmentent et la prochaine législation est plus drastique. Cela entrainerait le retrait des seniors et des classes moyennes du marché. Le volume des ventes passerait alors sous la barre des 700 000 transactions. La baisse des prix serait comprise entre 5 % et 10 % dans l’ancien.