Mais maintenant que les sauvetages aux frais des contribuables s’exportent, on a droit à des incantations parfois étonnantes et qui rappellent celles d’une équipe suisse débarquée depuis lors.
Celle de Jose Ignacio Goirigolzarri, qui date de ce samedi, ne manque pas de sel.
On rappelle juste pour mémoire qu’en plus des aides déjà accordées à cet établissement, Bankia réclame la bagatelle 23.5 milliards d’euros supplémentaires à l’Espagne pour ne pas tomber raide.
Et avec ça, le toréador qui dirige la manœuvre ose prétendre « être très serein face aux stress test qui seront réalisés dans sa banque ». C’est clair qu’avec une telle aumône, ça devrait mieux aller que hier.