Ce n’est sur le principe pas très moral de faire fuiter des secrets d’État contre monnaie sonnante et trébuchante.
En particulier quand on est majordome de sa « sainteté » Benoit XVI.
Et qu’il s’agit de vilaines petites ou plutôt de grandes bassesses du Vatican officiellement si propret et respectable.
Et qu’en sus, l’intéressé n’a fait que transmettre de vrais documents fort compromettants pour la « Sainte Église ».
Mais au fond, que veut donc dire « tend l’autre joue pour recevoir une claque supplémentaire » si même le Saint siège se met à embastiller les soupçonnés?
On espère que la cellule vaticane standard comporte au moins une bible à demeure, pour que Paolo Gabriele ne se sente pas trop seul. Amen.