Chat : un petit chat est mort....

une pensée pour Maurice, son maître a créé un lien avec les étoiles : Maurice a rejoind les étoiles,
 François Genty a écrit :" pour ceux qui n'entendent pas la poésie : Maurice est mort... comme il a vécu ,suprêmement !!! il a attendu le seul jour où j'étais disponible, il m'a évité le supplice de la piquouze du véto , il dormait à moitié sur ma poitrine dans 2 polaires où je l'avais imbriqué , à la terrasse du "bon coin" (marché Talensac , Nantes) le ptit Achile (5ans) passe à côté , je lui montre Maurice...-qu'est-ce qu'il fait ? demande le gosse -il dort (je répond)-les yeux ouverts ?! c'est là que je me rend compte que son corps commençait déjà à se rigidifier (30 secondes avant il avait poussé un petit râle doux & discret comme lui !"
....et une autre pour Eschyle, deux chats l'un plus âgé et l'autre mort qu'à 3 ans 1/2, Eschyle, je l'ai rencontré 2 fois, avec sa petite tête ronde et son expression en point d'interrogation ? "t'es qui toi ? pourquoi, tu viens chez nous....il était tout gris à la fourrure aux reflets bleus des chartreux;
Je crève de pitié
Je crève de pitié, d'aimer et de sourire :
mais sourire, ne m'est pas toujours possible,
et ce petit chat m'a rempli d'une tristesse grise.
Il miaulait sous la grande porte de la mairie,
par ce soir pluvieux, boueux, et j'ai senti
toute l'infinité résignée et muette
de la douleur des bêtes, de la douleur des bêtes.
"Défendre les animaux et protéger la nature" l'association vient de publier cette suplique
JE SUIS TON CHAT POUR TOUJOURS...
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Je ne suis pas ton chat jusqu'à ce que tu t'ennuies de moi.
Je ne suis pas ton chat jusqu'à ce que tu trouves une petite amie ou un petit ami.
Je ne suis pas ton chat jusqu'à ce que tu aies un bébé.
Je ne suis pas ton chat jusqu'à ce que tu aies à te déplacer.
Je ne suis pas ton chat jusqu'à ce que tu trouves "quelque chose de mieux"...
JE SUIS TON CHAT POUR TOUJOURS...
Si tu ne peux pas t'occuper de moi pour toujours,
je ne suis pas ton chat.
C'EST AUSSI SIMPLE QUE CELA.
Je crève de pitié
Je crève de pitié, d'aimer et de sourire :
mais sourire, ne m'est pas toujours possible,
et ce petit chat m'a rempli d'une tristesse grise.
Il miaulait sous la grande porte de la mairie,
par ce soir pluvieux, boueux, et j'ai senti
toute l'infinité résignée et muette
de la douleur des bêtes, de la douleur des bêtes.