-”(…)La douleur n’a jamais de sens. Elle est toujours inutile.”
Mais peut-être ne saurais-je pas ce que je sais aujourd’hui si je n’avais pas traversé les ténèbres, pris le risque de parler, eu la force d’ouvrir les yeux et de résister. Et de recommencer… plutôt que de mourir psychiquement.
Michela Marzano, “Légère comme un papillon”, Grasset
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