Si un jour, vous avez l’opportunitée et la chance de vous retrouver dans une rédaction, et plus particulièrement dans sa rubrique news, je vous livre aujourd’hui le tips ultime du rédacteur en manque de temps et/ou d’envie : la déclaration d’éditeur/dev/random acteur pompeux du marché.
Imaginons, les communiqués de presse qui arrivent à un rythme soutenu dans votre boîte mail ne dépassent pas l’intérêt d’une vidéo présentant les nouvelles textures utilisées pour le ballon du prochain Fifa. Et les news que vous pourriez piocher sur vos sites préférés tournent autour d’artworks, d’une énième vidéo de Lollipop Chainsaw, ou de Namco Bandai communiquant sur un nouveau Dragon Ball ou un jeu axé fanservice à outrance avec des lolis de douze ans en décolleté plongeant, que seul Console Toi pourrait décemment traiter.
C’est là que la déclaration prend tout son sens, vu qu’il n’y a besoin en complément que d’un simple commentaire, objectif/subjectif/trollesque, sans oublier de présenter le monsieur et son entreprise/studio/société.
Et il est aujourd’hui question de Capcom, qui compte bien réduire le temps de développement de ses jeux, de plus si ces derniers sortent mal finis, c’est pas grave, l’éditeur japonais ayant découvert l’une des joies de cette génération de console, le DLC.
« Nous voulons réduire le temps nécessaire pour développer des titres majeurs, en passant de l’habituel 3-4 ans à seulement 2,5 ans. Accélérer le développement reviendra probablement à augmenter les coûts mais la création d’un contenu de qualité sera essentiel à Capcom pour survivre à la comparaison d’une concurrence mondiale intense. »
« Pour le développement de DMC, il aura fallu cinq ans en raison du temps nécessaire pour sélectionner les entreprises de développement du fait de notre décision à passer par une équipe externe. Mais notre objectif est de réduire le cycle à 2,5 ans pour les prochains titres de cette licence. »
Cet énorme tips en amène un autre, si vous ne savez pas quoi dire, partez en hors sujet, pavé garanti !