Quand l'histoire de France se la joue copié/collé
2
Corréziens
2 François
François, je sais que tu me vois! merci de m'avoir envoyé en Corrèze....
Mais maintenant les voix de mes électeurs ne sont plus suffisantes,
J'ai besoin d'avoir la tienne avec ses bons conseils!
Grands débuts. Berlin, Washington, Camp David, Chicago. En moins d'une semaine, c'est à un rythme frénétique que François Hollande a dû faire son entrée sur la scène internationale. Le test était attendu, il est plutôt réussi. Physiquement, sa fraîcheur a surpris. Par son style, souriant, à l'aise et cordial, il a montré que le costume ne l'impressionnait pas. Pas même à la Maison Blanche. Pour François Hollande, ici photographié lors de la conférence de presse de clôture du sommet de l'Otan, à Chicago ce lundi, le bilan est très positif, avec une dizaine d'entretiens bilatéraux, un carnet d'adresses bien rempli et de nombreuses invitations à l'étranger. Dans l'ensemble, ses conseillers et ses ministres étaient enthousiastes. C'est un «sans-faute», a proclamé Laurent Fabius. Le stress test de ce premier voyage est donc surmonté, mais François Hollande n'aura pas de répit. Ni pour forger son budget, ni sur la crise grecque et les divergences avec Berlin, qui annoncent des semaines tout aussi tendues." title="Le rêve éveillé ça existe vraiment...." />
Grands débuts. Berlin, Washington, Camp David, Chicago. En moins d'une semaine, c'est à un rythme frénétique que François Hollande a dû faire son entrée sur la scène internationale. Le test était attendu, il est plutôt réussi. Physiquement, sa fraîcheur a surpris. Par son style, souriant, à l'aise et cordial, il a montré que le costume ne l'impressionnait pas. Pas même à la Maison Blanche. Pour François Hollande, ici photographié lors de la conférence de presse de clôture du sommet de l'Otan, à Chicago ce lundi, le bilan est très positif, avec une dizaine d'entretiens bilatéraux, un carnet d'adresses bien rempli et de nombreuses invitations à l'étranger. Dans l'ensemble, ses conseillers et ses ministres étaient enthousiastes. C'est un «sans-faute», a proclamé Laurent Fabius. Le stress test de ce premier voyage est donc surmonté, mais François Hollande n'aura pas de répit. Ni pour forger son budget, ni sur la crise grecque et les divergences avec Berlin, qui annoncent des semaines tout aussi tendues." border="0" />
Berlin, Washington, Camp David, Chicago. En moins d'une semaine, c'est à un rythme frénétique que François Hollande a dû faire son entrée sur la scène internationale. Le
test était attendu, il est plutôt réussi. Physiquement, sa fraîcheur a surpris. Par son style, souriant, à l'aise et cordial, il a montré que le costume ne l'impressionnait pas. Pas même à la
Maison Blanche. Pour François Hollande, ici photographié lors de la conférence de presse de clôture du sommet de l'Otan, à Chicago ce lundi, le bilan est très positif, avec une dizaine
d'entretiens bilatéraux, un carnet d'adresses bien rempli et de nombreuses invitations à l'étranger. Dans l'ensemble, ses conseillers et ses ministres étaient enthousiastes. C'est un
«sans-faute», a proclamé Laurent Fabius. Le stress test de ce premier voyage est donc surmonté, mais François Hollande n'aura pas de répit. Ni pour forger son budget, ni sur la crise grecque et
les divergences avec Berlin, qui annoncent des semaines tout aussi tendues.
Crédits photo : PHILIPPE WOJAZER/REUTERS
Euh! euh! merde j'ai oublié de me raser et d'enlever mon chapeau!
Pourtant j'ai eu le temps, tout le monde était autour de la table quand je suis
arrivé!
(assurément François ne dort pas bien il fait des cauchemars tout éveillé)
Le pouvoir et les responsabilités ça vous perturbe un homme!
Retrait? François Hollande se frotte à l'épineux «cactus» afghan. Jusqu'à ce soir, le président de la République est à Chicago pour participer aux côtés des alliés à son premier sommet de l'Otan organisé dans le fief de Barack Obama. Avec au programme un délicat exercice: rendre acceptable le retrait anticipé des troupes françaises d'Afghanistan aux yeux de ses partenaires, notamment le président américain. Lors de sa première journée, le président français, arrivé samedi soir dans la capitale de l'Illinois, transformée en véritable forteresse, a multiplié les entretiens bilatéraux, notamment avec Hamid Karzaï, le président afghan, et Anders Fogh Rasmussen, le secrétaire général de l'Otan. «Je ne suis pas surpris que le président François Hollande veuille honorer ses promesses. C'est la première mission d'un homme politique», a indiqué ce dernier. Barack Obama s'est contenté pour sa part d'affirmer la «détermination» de tous les pays ayant envoyé des troupes dans ce pays à «achever la mission», c'est-à-dire à rester engagés sur le terrain jusqu'en 2014, malgré l'impopularité du conflit afghan." title="Le rêve éveillé ça existe vraiment...." />
Retrait? François Hollande se frotte à l'épineux «cactus» afghan. Jusqu'à ce soir, le président de la République est à Chicago pour participer aux côtés des alliés à son premier sommet de l'Otan organisé dans le fief de Barack Obama. Avec au programme un délicat exercice: rendre acceptable le retrait anticipé des troupes françaises d'Afghanistan aux yeux de ses partenaires, notamment le président américain. Lors de sa première journée, le président français, arrivé samedi soir dans la capitale de l'Illinois, transformée en véritable forteresse, a multiplié les entretiens bilatéraux, notamment avec Hamid Karzaï, le président afghan, et Anders Fogh Rasmussen, le secrétaire général de l'Otan. «Je ne suis pas surpris que le président François Hollande veuille honorer ses promesses. C'est la première mission d'un homme politique», a indiqué ce dernier. Barack Obama s'est contenté pour sa part d'affirmer la «détermination» de tous les pays ayant envoyé des troupes dans ce pays à «achever la mission», c'est-à-dire à rester engagés sur le terrain jusqu'en 2014, malgré l'impopularité du conflit afghan." border="0" />
François Hollande se frotte à l'épineux «cactus» afghan. Jusqu'à ce soir, le président de la République est à Chicago pour participer aux côtés des
alliés à son premier sommet de l'Otan organisé dans le fief de Barack Obama. Avec au programme un délicat exercice: rendre acceptable le retrait anticipé des troupes françaises d'Afghanistan
aux yeux de ses partenaires, notamment le président américain. Lors de sa première journée, le président français, arrivé samedi soir dans la capitale de l'Illinois, transformée en véritable
forteresse, a multiplié les entretiens bilatéraux, notamment avec Hamid Karzaï, le président afghan, et Anders Fogh Rasmussen, le secrétaire général de l'Otan. «Je ne suis pas surpris que le
président François Hollande veuille honorer ses promesses. C'est la première mission d'un homme politique», a indiqué ce dernier. Barack Obama s'est contenté pour sa part d'affirmer la
«détermination» de tous les pays ayant envoyé des troupes dans ce pays à «achever la mission», c'est-à-dire à rester engagés sur le terrain jusqu'en 2014, malgré l'impopularité du conflit
afghan.
Crédits photo : POOL/REUTERS
Après de longues heures d'enquète et de recherches
Marigotine a trouvé le pourquoi...
Une éclipse solaire!
(voila pourquoi on rêve tout éveillé!)
Rarissime. L'éclipse annulaire s'est étendue sur un arc de 13.600 kilomètres. Alors, pour l'occasion, des millions d'Asiatiques et d'Américains avaient les yeux braqués vers le ciel lundi à l'aube ou dimanche au crépuscule, admirant avec enthousiasme la Lune masquer le Soleil, ne laissant qu'un spectaculaire anneau de lumière pendant environ quatre minutes. Des célébrations ont eu lieu dans les écoles et les musées au Japon, où le phénomène a été largement observé par la population. Traversant ensuite le Pacifique, l'ombre a émergé sur le nord de la Californie et le sud de l'état de l'Oregon, où des milliers de personnes ont assisté à l'éclipse solaire, la première à apparaître aux États-Unis depuis 1994. La traine solaire s'est ensuite déplacée au dessus du sud-est américain, à travers le centre du Nevada, le sud de l'Utah et le nord de l'Arizona, puis au Nouveau-Mexique. L'anneau de feu est ensuite passé, comme ici photographié, au dessus de Albuquerque, au Nouveau-Mexique, avant de s'essouffler à l'est de Lubbock, au Texas." title="Le rêve éveillé ça existe vraiment...." />
Rarissime. L'éclipse annulaire s'est étendue sur un arc de 13.600 kilomètres. Alors, pour l'occasion, des millions d'Asiatiques et d'Américains avaient les yeux braqués vers le ciel lundi à l'aube ou dimanche au crépuscule, admirant avec enthousiasme la Lune masquer le Soleil, ne laissant qu'un spectaculaire anneau de lumière pendant environ quatre minutes. Des célébrations ont eu lieu dans les écoles et les musées au Japon, où le phénomène a été largement observé par la population. Traversant ensuite le Pacifique, l'ombre a émergé sur le nord de la Californie et le sud de l'état de l'Oregon, où des milliers de personnes ont assisté à l'éclipse solaire, la première à apparaître aux États-Unis depuis 1994. La traine solaire s'est ensuite déplacée au dessus du sud-est américain, à travers le centre du Nevada, le sud de l'Utah et le nord de l'Arizona, puis au Nouveau-Mexique. L'anneau de feu est ensuite passé, comme ici photographié, au dessus de Albuquerque, au Nouveau-Mexique, avant de s'essouffler à l'est de Lubbock, au Texas." border="0" />
. L'éclipse annulaire s'est étendue sur un arc de 13.600 kilomètres. Alors, pour l'occasion, des millions d'Asiatiques et d'Américains avaient les yeux braqués vers le ciel
lundi à l'aube ou dimanche au crépuscule, admirant avec enthousiasme la Lune masquer le Soleil, ne laissant qu'un spectaculaire anneau de lumière pendant environ quatre minutes. Des
célébrations ont eu lieu dans les écoles et les musées au Japon, où le phénomène a été largement observé par la population. Traversant ensuite le Pacifique, l'ombre a émergé sur le nord de
la Californie et le sud de l'état de l'Oregon, où des milliers de personnes ont assisté à l'éclipse solaire, la première à apparaître aux États-Unis depuis 1994. La traine solaire s'est
ensuite déplacée au dessus du sud-est américain, à travers le centre du Nevada, le sud de l'Utah et le nord de l'Arizona, puis au Nouveau-Mexique. L'anneau de feu est ensuite passé, comme
ici photographié, au dessus de Albuquerque, au Nouveau-Mexique, avant de s'essouffler à l'est de Lubbock, au Texas.
Crédits photo : LUCAS JACKSON/REUTERS
Ah non!
Manquerait encore plus que le péril "jaune" nous fasse des siennes...
Paralysée. La capitale irakienne roule au ralenti ce mercredi, enveloppée dans une tempête de sable impressionnante. Les vents de sable ne sont pas rares en Irak, mais la sécheresse de cette année a aggravé la situation. La circulation est rendue extrêmement difficile, la visibilité ne dépassant pas quelques mètres et seules quelques voitures ont réussi à se déplacer à vitesse très réduite. De nombreux commerces sont fermés, et les habitants sont restés cloîtrés chez eux. Les quelques personnes aperçues sur les trottoirs portaient des masques. Les autorités ont indiqué que de nombreuses personnes ont été admises dans les hôpitaux pour des problèmes d'insuffisance respiratoire. Malgré tout, l'aéroport de Bagdad a pu rouvrir ce matin après être resté fermé mardi alors qu'était prévue dans la journée une réunion internationale cruciale pour discuter du programme nucléaire controversé de l'Iran. Tous les vols du jour, qu'ils soient au départ ou à l'arrivée, étaient programmés comme prévu." title="Le rêve éveillé ça existe vraiment...." />
Paralysée. La capitale irakienne roule au ralenti ce mercredi, enveloppée dans une tempête de sable impressionnante. Les vents de sable ne sont pas rares en Irak, mais la sécheresse de cette année a aggravé la situation. La circulation est rendue extrêmement difficile, la visibilité ne dépassant pas quelques mètres et seules quelques voitures ont réussi à se déplacer à vitesse très réduite. De nombreux commerces sont fermés, et les habitants sont restés cloîtrés chez eux. Les quelques personnes aperçues sur les trottoirs portaient des masques. Les autorités ont indiqué que de nombreuses personnes ont été admises dans les hôpitaux pour des problèmes d'insuffisance respiratoire. Malgré tout, l'aéroport de Bagdad a pu rouvrir ce matin après être resté fermé mardi alors qu'était prévue dans la journée une réunion internationale cruciale pour discuter du programme nucléaire controversé de l'Iran. Tous les vols du jour, qu'ils soient au départ ou à l'arrivée, étaient programmés comme prévu." border="0" />
La capitale irakienne roule au ralenti ce mercredi, enveloppée dans une tempête de sable impressionnante. Les vents de sable ne sont pas rares en Irak, mais la
sécheresse de cette année a aggravé la situation. La circulation est rendue extrêmement difficile, la visibilité ne dépassant pas quelques mètres et seules quelques voitures ont réussi à se
déplacer à vitesse très réduite. De nombreux commerces sont fermés, et les habitants sont restés cloîtrés chez eux. Les quelques personnes aperçues sur les trottoirs portaient des masques.
Les autorités ont indiqué que de nombreuses personnes ont été admises dans les hôpitaux pour des problèmes d'insuffisance respiratoire. Malgré tout, l'aéroport de Bagdad a pu rouvrir ce
matin après être resté fermé mardi alors qu'était prévue dans la journée une réunion internationale cruciale pour discuter du programme nucléaire controversé de l'Iran. Tous les vols du
jour, qu'ils soient au départ ou à l'arrivée, étaient programmés comme prévu.
Crédits photo : SABAH ARAR/AFP