Il y a visiblement de la tromperie dans l’air et du maquillage, ce qui n’est pas étonnant quand on connaît les banquiers, mais plus étrange dans un Wall Street soi disant apuré de ses moutons noirs.
Il y a visiblement de la tromperie dans l’air et du maquillage, ce qui n’est pas étonnant quand on connaît les banquiers, mais plus étrange dans un Wall Street soi disant apuré de ses moutons noirs.