Trahison, tromperie, pleurs… Une rupture, ça fait pas rêver. Mais entre les mains habiles de votre Martine favorite, la plus cruelle devient réjouissante. Ô rage, ô désespoir, c’est fini. Bonjour vengeance. Pour tous ceux qui en peuvent plus des “il m’a trop prise pour une conne” et des “T’façon, elle sait pas c’qu’elle veut, celle-là”, venez savourez une ptite rupture bien d’chez nous. Top 30 des meilleures séparatations.
La consolante
Dans la série “Ana choisit des mecs relou”, je demande… Le pleurnichard. Comme quoi, un “vrai mec” peut vite se transmuter en Bisounours morveux à la moindre déception.
C’est pas spécialement qu’Ana soit une briseuse de coeur, pas du tout, mais y a des moments, faut savoir choisir. Ca faisait quelques semaines qu’elle fréquentait Julien. Qu’on se le dise, c’était plus par ennui que par convictions. Mais enfin, c’est quoi son problème à Ana ? Il est plutôt mignon, il est gentil et clairement accro à elle. Drôle, patient. Bref, une perle. Rien que de faire l’étalage de ses qualités, on s’emmerde….
Comme disait notre ami La Fontaine, l’amour et la folie font souvent bon ménage. Sauf que la Ana, rester par dépit, c’est pas franchement son truc. Il suffisait que sa pote Colette la chauffe un peu trop pour sortir-en-boite-chopper-des-”beubons-bébé” un samedi soir et le ptit Julien, ben il a pas fait long feu.
Le naufrage
Si leur couple “était un bateau, ça aurait été le Costa Concordia”. Quand on en arrive là pour larguer un mec, c’est que c’est vraiment le fond du gouffre. Ben faut croire qu’Ana l’a atteint.
Du coup, le fameux samedi où elle devait sortir avec Colette, elles passent l’aprem à se pomponner en buvant du rosé. Vers 19 heures, elles se quittent en se filant rendez-vous deux heures plus tard. Juste histoire de larguer Julien façon réglo.
Sauf qu’au moment fatidique, Julien fond en larmes. Mais genre vraiment ! Il se colle à Ana, et inonde son haut de soirée. On est bien comme tout. Au début, elle patiente, essaye de le consoler tant bien que mal… Tout en gardant un oeil sur sa montre.
Puis l’heure du rendez-vous approche. Elle tente sa métaphore maritime du Concordia. Il ne s’arrête pas de pleurer. Tant est si bien qu’elle en arrive à lui dire de venir en boîte avec elles. Toujours les larmes. Jusqu’à ce qu’Ana lui dise “T’inquiètes, j’te présenterai des copines…” Le naufrage, quoi.