« Elle [l’abstention] sera l’un de nos principaux obstacles. C’est donc par le bouche-à-bouche qu’il faudra convaincre les électeurs d’aller voter. » [bouche à oreille]
Sa liste municipale perdra face à la gauche. Espérait-il que cette candidature le « ranimerait » et le ferait « revenir à la vie » politique ? Sa popularité s’était en effet effondrée après sa défaite au premier tour de l’élection présidentielle de 1995 quand, Premier ministre de cohabitation de François Mitterrand, il avait osé se présenter contre Jacques Chirac, candidat RPR alors maire de Paris.