Probablement, il reste peu de doute par rapport au fait que Paris est la ville de l’amour. L’amour est une invention capable d’adopter des différentes formes qui n’exclut ni la prostitution ¿ Est-il possible d’imaginer Paris, et son cadre culturel sans la présence de prostituées qui grâces aux réformes urbanistique d’Haussmanns sont devenus visible sous les lumières des nouveaux, et plus amples boulevard? Ni le guide pratique que la littérature médicale du siècle XIX à donner à nommer perverses, ou déviantes. Une grande partie de celles-ci, au fil du temps, ont assumés des traits d’un érotisme plus basique, et assimilé, de façon que les magasins de lingerie sexy peuvent parfaitement être considérées une des attractions de la ville, dans laquelle on ressent une certaine nostalgie de ces fêtes coquines dans les jardin propres au chant du cygne de l’Antique Régime qui reviennent dans les nouvelles libertines de cette période, dans les tableaux de Fragonard.