A la librairie L’Imagigraphe, je retrouve Olivia Rosenthal où j’avais déjà rencontré François Bon, et la filiation ne doit rien au hasard.
Olivia Rosenthal se comporte comme ce qu’elle décrit de ces livres « avec moi complètement, et en même temps, dans la distance ».
On évoquera, entre autres, le thème de « l’auteur sympa », de la distance et je découvre, finalement, une Olivia Rosenthal beaucoup plus « politique » et « en colère », que je ne l’imaginais.
Une auteure en strates fines et subtiles formant une personnalité singulière et très attachante.
On n’est pas là pour disparaître a reçu le prix de la fondation Wepler – La Poste.
Olivia Rosenthal
Et aussi : interviewée, vue, estomaquée