nb. Le billet de blog qu’évoque Didier Porte est ici. Mais il en a commis un autre plus récent sur FOG là. Heureusement que le ridicule ne tue pas, Monsieur Giesbert, sinon vous seriez mort depuis longtemps. Mais rassurez vous, vous n’êtes pas le seul. Comme il est amusant, et dans certains cas jubilatoire, d’observer le bal des courtisans et les contorsions de certains journalistes pour justifier l’injustifiable !