Un fromage à Chicago

La patte hollandaise, molle et sans saveur, se retrouve à Chicago et a la lourde tâche de représenter la France, qui bien que parfaitement introduite dans le libéralisme globalisant, n'en reste pas moins le cailloux dans la chaussure du pouvoir anglo-saxon qui à proprement parler reste en face de la civilisation Française. Certes ces termes paraissent surannés en 2012 mais en réalité ils continuent de représenter les nations. En effet, face à la France et ses alliés, comme la Russie par exemple (et oui la Russie), l'empire WASP/talmudique de Boston à Wall Street en passant par Hollywood, ces deux camps se font toujours face. Mais ici avec Hollande, on n'en plus vraiment là, depuis quelques jours les anglo-saxons ont compris le clown qui s'offrait à eux. Dans l'Histoire de France (comme celle d'autres pays et empires) il y a toujours eu des chefs par défaut, des faibles, des mal placés, par erreurs ou par destins lorsqu'il était filiale C'est le cas avec Hollande. Un président par défaut qui ne sait pas encore dans quelle impasse morale et physique il est désormais. Car il n'ait pas à Tulle ou à Rouen désormais, il doit discuter avec de vrais méchants maintenant, certes il a reçu une formation continue au sein du PS qui contient un réservoir certain de chiens enragés mais aux pouvoir de destructions certes limités.

Donc oui-oui aux pays des yankees ça fait déjà tâche rien qu'à mentionner l'affaire. Et il ne sait pas priver de concrétiser cette peur primaire de voir son représentant comme un petit enfant sans repère. Il avait ris soins d'embarquer les deux plus gros lécheurs de bottes de la 5 républiques que sont les deux poissons ilotes Moscovici et Fabius, les responsable et coupables, à la place des Dupont et Dupond.

Il n'aime pas les protocoles! En Allemagne, il s'est fait guider par Angela Merkel, aux US il se fait former aux responsabilités par Obama. C'est une certaine honte pour els Français qui valaient tellement mieux.

Dans le figaro.fr:

François Hollande n'est pas un spécialiste des États-Unis, loin de là. Mais il n'a jamais cherché à cultiver le contact avec le Parti démocrate américain lorsqu'il était premier secrétaire du PS.

(En effet, mais qu'a fait Hollande à la tête du PS?)

Lorsqu'il était jeune, dans les années 1970, François Hollande a parcouru les États-Unis. Il en avait rapporté un «goût pour les hamburgers», avait-il raconté plus tard. Le président Barack Obama s'en est amusé lors de leur déclaration commune, à l'issue de leur entretien: «J'espère que les cheeseburgers à Chicago seront à la hauteur.» Il a aussi évoqué les déplacements en scooter de Hollande. Obama a plaisanté: lui aussi aurait aimé se déplacer de cette façon, mais la sécurité n'avait pas voulu… François Hollande est encore un inconnu pour les dirigeants étrangers. Samedi, lors du G8 à Camp David, le chef de l'État devrait parfaire son carnet d'adresses

Finalement au G8 on aura surtout remarquer de la part de l’inconnu qu’on appellera Président de la France, qu’il était le seul à porter un cravate dans un protocole qui lors de cette réunion banni la cravate. Tant pis, mais la question est: qu’ont fais les deux autres socialistes quo l’accompagnaient pendant ce temps, ils n’ont pas aider à dégrossir le Hollande visiblement. En conclusion j’ai un mot qui me trotte dans la tête : Plouc !