"Il est classique d’imputer les vertus constitutives du capitalisme à l’éthique protestante : assiduité au travail, frugalité, détestation du gaspillage et des plaisirs frivoles. Or dans l’air du temps, il est de bon ton de prêcher au bon peuple des vertus qu’on n’a pas réellement l’intention d’adopter soi-même"
Le titre, c'est : Le goût du risque (pris par les autres, s'entend). Je vous le dis, allez voir...