Après ce temps d’absence post vacances, nous voici de retour pour une revue littéraire, exclusivement consacrée à des personnages majeurs de la 2ndeGuerre Mondiale, à savoir respectivement Winston Churchill, Adolf Hitler et Charles de Gaulle (oui j’aurais pu choisir moins classique mais bon), tout trois représentatif des ouvrages que j’ai pu lire sur le bord de la piscine (ou de la plage au choix) pendant mon séjour au soleil ! (Au cas où, se reporter à l’article précédent). Aussi, intéressons-nous à trois livres ma foi forts intéressants dans l’analyse et la compréhension que l’on peut avoir du conflit le plus meurtrier de l’histoire de l’humanité, oui oui, rien que ça ! Nous commencerons donc par Discours de guerre par Winston Churchill, où tout est dans le titre pas besoin de détailler particulièrement ; ensuite nous passerons chez l’ennemi avec La jeunesse mélancolique et très désabusée d’Adolf Hitler de Michel Folco ; pour enfin terminer par De Gaulle expliqué aujourd’hui de Marc Ferro, qui relate l’expérience gaulliste de la fin de la 1èreGuerre Mondiale à 1968 et la démission de celui qui, à mon sens, représente le seul véritable président français ayant eu un impact sur la vie politique contemporaine. D’abord, pourquoi ces trois livres ? Et bien, dans la connaissance que le commun des mortels a de la 2ème Guerre Mondiale, on s’intéresse principalement aux combats et mouvements militaires, ces ouvrages quant à eux donnent une vision bien plus politique de la gestion de cette période de l’histoire moderne. Effectivement, au regard de cette nouvelle lecture, on peut imaginer facilement que la guerre est plus une histoire de négociations, de malversations politiques et de discussions en sous-mains que de victoires militaires liées à l’intelligence des stratèges des différents belligérants. Aussi, on peut imaginer que c’est mal leur rendre hommage que de réduire des sacrifices humains considérables à un simple corollaire de divergences entre chefs d’Etats. Il est alors je pense, légitime de se demander, si ce conflit aurait pu être terminé sans d’une part les combats qui ont eu lieu à différents points du globe pour regagner ou conquérir des territoires, et d’autre part l’intervention des chefs, qui ont eu il me semble à cette époque la présence d’esprits d’être les moins imbéciles de tous. Mais bon, la place de l’armée et du pouvoir politique dans la société et les conflits n’est pas à l’ordre du jour, par conséquent revenons à notre propos initial, à savoir : littérature et guerre mondiale ! Discours de guerre, Winston Churchill
Après ce temps d’absence post vacances, nous voici de retour pour une revue littéraire, exclusivement consacrée à des personnages majeurs de la 2ndeGuerre Mondiale, à savoir respectivement Winston Churchill, Adolf Hitler et Charles de Gaulle (oui j’aurais pu choisir moins classique mais bon), tout trois représentatif des ouvrages que j’ai pu lire sur le bord de la piscine (ou de la plage au choix) pendant mon séjour au soleil ! (Au cas où, se reporter à l’article précédent). Aussi, intéressons-nous à trois livres ma foi forts intéressants dans l’analyse et la compréhension que l’on peut avoir du conflit le plus meurtrier de l’histoire de l’humanité, oui oui, rien que ça ! Nous commencerons donc par Discours de guerre par Winston Churchill, où tout est dans le titre pas besoin de détailler particulièrement ; ensuite nous passerons chez l’ennemi avec La jeunesse mélancolique et très désabusée d’Adolf Hitler de Michel Folco ; pour enfin terminer par De Gaulle expliqué aujourd’hui de Marc Ferro, qui relate l’expérience gaulliste de la fin de la 1èreGuerre Mondiale à 1968 et la démission de celui qui, à mon sens, représente le seul véritable président français ayant eu un impact sur la vie politique contemporaine. D’abord, pourquoi ces trois livres ? Et bien, dans la connaissance que le commun des mortels a de la 2ème Guerre Mondiale, on s’intéresse principalement aux combats et mouvements militaires, ces ouvrages quant à eux donnent une vision bien plus politique de la gestion de cette période de l’histoire moderne. Effectivement, au regard de cette nouvelle lecture, on peut imaginer facilement que la guerre est plus une histoire de négociations, de malversations politiques et de discussions en sous-mains que de victoires militaires liées à l’intelligence des stratèges des différents belligérants. Aussi, on peut imaginer que c’est mal leur rendre hommage que de réduire des sacrifices humains considérables à un simple corollaire de divergences entre chefs d’Etats. Il est alors je pense, légitime de se demander, si ce conflit aurait pu être terminé sans d’une part les combats qui ont eu lieu à différents points du globe pour regagner ou conquérir des territoires, et d’autre part l’intervention des chefs, qui ont eu il me semble à cette époque la présence d’esprits d’être les moins imbéciles de tous. Mais bon, la place de l’armée et du pouvoir politique dans la société et les conflits n’est pas à l’ordre du jour, par conséquent revenons à notre propos initial, à savoir : littérature et guerre mondiale ! Discours de guerre, Winston Churchill