Le film, adapté d’un livre lui-même écrit par la réalisatrice Saphia Azzeddine, dont c’est le premier essai au cinéma, pose de belles questions sur la réussite socio-personnelle et le déterminisme professionnel : peut-on s’extraire de son milieu de naissance ? Peut-on parler de réussite sans parler d’argent ? L’œuvre est certes tantôt anecdotique (mise en scène inexistante), tantôt maladroite (des situations trop caricaturales, des dialogues qui sonnent faux) mais possède une vraie fraîcheur et sincérité de ton. Faut dire que le casting, crédible, y est pour beaucoup, avec notamment François Cluzet, qui tient l’affiche avec le charisme qu’on lui connaît, parfait en paternel travailleur, super-héros du quotidien.
Le film, adapté d’un livre lui-même écrit par la réalisatrice Saphia Azzeddine, dont c’est le premier essai au cinéma, pose de belles questions sur la réussite socio-personnelle et le déterminisme professionnel : peut-on s’extraire de son milieu de naissance ? Peut-on parler de réussite sans parler d’argent ? L’œuvre est certes tantôt anecdotique (mise en scène inexistante), tantôt maladroite (des situations trop caricaturales, des dialogues qui sonnent faux) mais possède une vraie fraîcheur et sincérité de ton. Faut dire que le casting, crédible, y est pour beaucoup, avec notamment François Cluzet, qui tient l’affiche avec le charisme qu’on lui connaît, parfait en paternel travailleur, super-héros du quotidien.