Patong Beach, le 17 mai 2012
Courriel : xxxx
Objet : François Hollande et PS, J’ACCUSE : « De la trahison de Jaurès au "casse du siècle" de la Présidentielle 2012 ! »
Parti socialiste
10, rue de Solferino
75007 PARIS
Fax : 01 47 05 15 78
01 45 56 78 74
Lettre recommandée avec accusé de réception
[A l’attention de François Hollande, Jean-Marc Ayrault, Arnaud Montebourg, Annick Lepetit, Bertrand Delanoë, Bruno Julliard, Claude Dilain, Dominique Strauss-Kahn, Elisabeth Guigou, François Patriat, François Rebsamen, Harlem Désir, Henri Emmanuelli, Jack Lang, Jean Glavany, Jean-Marie Le Guen, Jean-Pierre Chevènement, Julien Dray, Laurent Fabius, Lionel Jospin, Malek Boutih, Manuel Valls, Martine Aubry, Michel Rocard, Michel Sapin, Olivier Duhamel, Pierre Moscovici, Robert Badinter, Ségolène Royal, Stéphane Le Foll et Vincent Peillon]
« Qui ne gueule pas la vérité dans un langage brutal quand il sait la vérité se fait le complice des menteurs et des faussaires. » [Charles Péguy, Tempête sur l’Église de Robert Senon]
« Le cri de joie spinoziste est un cri de guerre contre les superstitions. » [Balthasar Thomass, Spinoza, le maître de liberté]
« Le .courage, c'est de chercher la vérité et de la dire; c'est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho de notre âme, de notre bouche et de nos mains, aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. » [Jean Jaurès, Discours à la jeunesse, 1903]
Mesdames, Messieurs,
Les citations ci-dessus ainsi que les quelques cent lettres, adressées nommément à François Hollande, Jean-Marc Ayrault et autres caciques socialistes mis en exergue ici, me suffisent amplement pour étayer, une fois de plus, mes gravissimes accusations envers les uns et les autres depuis le 6 octobre 2000 très précisément, d’autant plus que cet abondant courrier demeure pour l’essentiel toujours sans réponse sur le fond jusqu’ici, ce qui est tout sauf la preuve d’honnêteté et de courage intellectuels, alors que l’on entend diriger la France.
Ainsi votre silence et votre refus généralisé de débattre durant près de douze ans, à de rares exceptions près, vous ont même conduits à trahir Jaurès, en faisant fi du courage qu’il demandait pour chercher et dire publiquement LA Vérité, comme en témoigne la citation ci-dessus.
Au contraire, vous avez tout fait pour éviter d’affronter LA Vérité éternelle absolue, celle qui suffit à invalider définitivement tous les points de vue relatifs partisans, les vôtres en particulier, dans leur prétention à dire l’absolu, ce qui est absolument absolu, ou à parler au nom de l’Idéal, un Idéal pourtant à jamais « inconnaissable "en soi" » pour nous humains, mais qui ne vous dispense pas pour autant de l’invoquer constamment pour appuyer vos fallacieuses promesses.
Assurément, LA Vérité réclamée par Jaurès était trop contraire à vos intérêts égoïstes partisans, puisque vous n’avez eu de cesse de colporter mensonges et « croyances au miracle », donc de tromper et manipuler sciemment l’opinion pour votre plus grand profit, comme l’actualité brûlante vient de le confirmer.Mais il ne vous est évidemment pas interdit de démontrer le contraire sur des points très précis de désaccord éventuel portant sur l’intégralité de ma correspondance, toujours à votre disposition ou à celle de quiconque - Justice incluse !
D’ici-là, je suis bien obligé de constater votre obstination avérée dans le silence et le refus généralisé de débattre, ce qui va à l’encontre de la déclaration de Jaurès sur LA Vérité et la nécessité de la dire publiquement. En matière de Vérité, toutefois, Jaurès lui-même n’était pas le meilleur exemple, puisque sa citation parlant d’ « aller à l’Idéal et comprendre le réel » est une offense manifeste à LA Vérité. C’est en effet l’une de ces promesses à jamais irréalisables, dont je vous ai fait part bien souvent, en vous mettant même au défi de m’indiquer concrètement comment transposer l’Idéal dans la réalité quotidienne.
Assurément, vous êtes à jamais incapables de le faire, et pour cause, puisque l’Idéal n’est pas de ce monde. Personne ne vous en voudrait, à commencer par moi, si vous n’utilisiez pas constamment cette chimère à des fins électorales, à l’exemple de Jean-Luc Mélenchon, alors socialiste, parlant de « faire vivre l’Idéal », mais dont j’attends toujours la réponse à ma lettre du 1er octobre 2007 dénonçant cette utopie, de gauche en général et socialiste en particulier.
Ce vœu pieux restera éternellement, en effet, la preuve irréfutable, au regard de l’Histoire, que notre époque n’était pas moins « obscurantiste » que toutes celles qui l’ont précédée, au fil des siècles et des millénaires, avec leur même penser superstitieux - sauf encore à vous-mêmes ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire !
Comme vous n’êtes toujours pas parvenus, en une douzaine d’années, à démonter mon accusation fondamentale dénonçant votre penser superstitieux dans ses divers modes d’expression (Religion, métaphysique matérialiste ou idéaliste, idéologie et moralisme), j’attendrai donc votre réponse argumentée contraire jusqu’à la saint Glinglin, tout comme l’humanité continuera à espérer, jusque-là, votre monde idéal, fruit assurément de vos « croyances au miracle ».
De la sorte, vous ne pouviez malheureusement que tromper l’opinion, comme vous venez encore de tromper des dizaines de millions de naïfs promis à devenir, à plus ou moins long terme, les cocus et frustrés de vos mensongères promesses, telles que je les ai établies dans ma lettre du 12 mars dernier, qui avait pour objet, « Et le combat de LA Vérité visant les candidats de la Présidentielle 2012 cessa faute de combattants! »
Vous êtes donc bien loin du courage réclamé par Jean Jaurès, en matière de Vérité, alors que vous n’aviez même pas besoin de la rechercher, a fortiori de l’inventer. Elle vous avait été amplement communiquée, sur fondement de la pensée des grands prophètes universels (mystiques authentiques et vrais philosophes du UN absolu), dans mon courrier et mon texte fondateur, Mensonges et lâcheté des élites, maintes fois porté à votre connaissance, mais dont j’attends toujours vos éventuelles remarques contraires, intellectuellement et philosophiquement étayées.
Votre silence suffit à attester que vous n’aviez rien à redire sur le fond à mes propos, sinon il ne fallait pas vous gêner, puisque je n’avais de cesse de vous réclamer vos points de vue opposés, en les démontrant de préférence. Mais c’était tellement juteux, électoralement et financièrement parlant, que vous avez sciemment préféré continuer à tromper et à manipuler l’opinion, comme en témoignera pour l’Histoire le « casse du siècle » de la Présidentielle 2012, du seul fait de n’avoir jamais répondu à mes accusations de colporter inébranlablement les mensonges et les « croyances au miracle » de notre monde contemporain.
Je n’entends pas toutefois reprendre ici l’intégralité de mon argumentation, puisque toute cette correspondance qui la développe est à la disposition de quiconque, et vous ne pourrez donc pas prétendre que mes lettres sont une pure invention.
Vu l’abondance de ce courrier, soit quelques cent lettres adressées entre le 6 octobre 2000 et le 25 avril dernier, tant au Parti socialiste qu’à ses membres rappelés en exergue, je me borne à mentionner les plus récentes à votre attention de candidat socialiste.
Ainsi vous ne pourrez pas nier, sans mentir, avoir reçu les lettres suivantes, preuves matérielles d’envoi à votre disposition :
Primaire socialiste : « François Hollande disqualifié ! » [Télécopie du 27 septembre 2011]
François Hollande, J’ACCUSE : « Arrêtez de mentir et de tromper l’opinion ! » [Télécopie du 28 octobre 2011]
François Hollande, pour mémoire et information: « Débilité intellectuelle de l’époque, lâcheté et malhonnêteté de ses élites ! » [Télécopie du 19 décembre 2011]
François Hollande, pour information: «Le "coup de la finance", les mensonges, les incohérences et autre "méthode Coué" du candidat Hollande ! » [Télécopie du 21 février 2012]
« Et le combat de LA Vérité visant les candidats de la Présidentielle 2012 cessa faute de combattants ! » (Version collective personnalisée pour chaque candidat) [Télécopie du 21 février 2012]
François Hollande, J’ACCUSE : « Lâcheté, malhonnêteté et débilité intellectuelles d’un éventuel président normal ! » [Courriel du 25 avril 2012 envoyé à l’adresse Internet fhollande@assemblee-nationale.fr
Outre cette correspondance, je ne peux manquer de mentionner ici mes lettres des 15 janvier et 30 avril derniers, adressées au quotidien Le Monde sous les intitulés respectifs suivants, Le Monde, J'ACCUSE (énième !) : « François Hollande, un président "normal" ? ! », et, Le Monde, J'ACCUSE (énième+1!) : « Complicité de lâcheté, malhonnêteté et débilité intellectuelles avec un éventuel président normal ! »,mais toujours sans réponse jusqu’ici.
Et même Le Figaro, quotidien de droite par excellence, ne peut être exonéré d’avoir participé à la manipulation de l’opinion, durant la campagne présidentielle, en refusant de tenir compte de mes fax et de ma lettre recommandée avec accusé de réception, ce qui vous favorisait, aussi difficile à croire que ce soit.
Pourtant ma lettre du 10 mai 2012 qui avait pour objet, Le Figaro, J’ACCUSE, « Merci pour la France d’avoir couvert sciemment la malhonnêteté, la lâcheté et la débilité intellectuelles avérées du nouveau président de la République ! », est là pour en témoigner, même si j’attends toujours la réponse à ce courrier.
En conclusion, je laisse les historiens de demain juger, en leur âme et conscience, de l’obscurantisme de notre époque, féconde en mensonges et « croyances au miracle », qui a permis le « casse du siècle » dénoncé, en refusant sciemment de débattre sur le fond, sans avoir pour autant établi la fausseté de mes affirmations sur quelque point que ce soit.
Chacun peut néamoins imaginer ce qu’il aurait pu advenir des résultats de la Présidentielle 2012, si les citoyens-électeurs avaient été honnêtement et scrupuleusement informés de ces accusations personnelles que vous possédiez, tout en sachant que le candidat socialiste avait obstinément refusé d’y répondre – à défaut, je n’hésite pas à dénoncer une main basse sur l’État !
Pour l’établir, je souligne que François Hollande avait été convié, dans ma lettre du 20 décembre dernier, à confronter en justice sa vérité et la mienne, dans les termes suivants :
« Il vous reste toutefois le recours à la Justice pour établir la réalité de votre parole de Vérité contre la mienne : celle de ses grands diseurs universels qui ont traversé les siècles et les millénaires, de Lao-Tseu à Constantin Brunner (1862-1937), leur héritier spirituel commun, en passant par des mystiques authentiques, tels le Bouddha et le Christ, ainsi que de « vrais » philosophes de l'UN absolu, Socrate, Platon, Giordano Bruno et Spinoza notamment.
De surcroît, contrairement à vous, je ne crains pas la confrontation d’idées, comme j’en ai d’ailleurs souvent lancé le défi à nombre d’élites dénoncées, y compris un président de la République dont j’attends toujours l'éventuelle citation à comparaître en justice. » [Fin de citation]
Néanmoins, le sort en est désormais jeté, et il reste cinq ans au nouveau Président pour faire la preuve qu’il n’aura pas démérité, malgré une élection pour le moins discutable quant aux circonstances évoquées dans ce courrier.
C’est ce que je peux souhaiter de mieux à la France, et en vous remerciant de votre attention, je vous prie d’agréer, Mesdames, Messieurs, mes salutations philosophiques, laïques et républicaines, sauf à vous-mêmes ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire.
[Les éventuels défauts de présentation constatés lors de la publication, notamment les mélanges de police ou autre, sont totalement indépendants de ma volonté]