Ajouterai-je que mes contacts dans les milieux les plus divers ces derniers jours partageaient un même geste : les doigts croisés. Jusqu'à cet échange entendu tout à l'heure sur le marché de la rue Daguerre entre deux commerçants (oui, commerçants qui avaient sans doute doute voté Sarkozy) : "Tu devrais déposer un cierge pour Hollande." "Dieu fasse qu'il réussisse."
Les dieux ne doivent pas aimer que nos Présidents soient trop normaux. Entre les averses, la grêle et la foudre ils ont tout fait pour ajouter un peu de piment à une journée que François Hollande, un peu engoncé dans ses atours de nouveau Président (costume qu'il a du changer au moins trois fois) avait voulu si normale. Est-ce de bon augure? Sans doute puisque c'est une légende qui ainsi se construit : un Président que la foudre baptise! a-t-on jamais vu cela? Le voilà devenu un personnage de nos mythologies privées aux cotés d'Achille, Hector et de l'inoxydable Mitterrand.
Ajouterai-je que mes contacts dans les milieux les plus divers ces derniers jours partageaient un même geste : les doigts croisés. Jusqu'à cet échange entendu tout à l'heure sur le marché de la rue Daguerre entre deux commerçants (oui, commerçants qui avaient sans doute doute voté Sarkozy) : "Tu devrais déposer un cierge pour Hollande." "Dieu fasse qu'il réussisse."
Ajouterai-je que mes contacts dans les milieux les plus divers ces derniers jours partageaient un même geste : les doigts croisés. Jusqu'à cet échange entendu tout à l'heure sur le marché de la rue Daguerre entre deux commerçants (oui, commerçants qui avaient sans doute doute voté Sarkozy) : "Tu devrais déposer un cierge pour Hollande." "Dieu fasse qu'il réussisse."