Mais l’ancien journaliste ne veut pas porter le chapeau de ce qu’il se passe actuellement : « Je ne conteste pas le fait d’avoir été écarté avec mon directeur général. Mais on a été traités comme si on avait tapé dans la caisse, comme des criminels, alors que notre bilan était plus qu’honorable. Il suffit d’ailleurs de comparer la fin de saison actuelle avec la nôtre » a-t-il déclaré dans France-Football.
« Je crois qu’il ne fallait pas déséquilibrer l’attelage Deschamps-Bernès d’un côté, avec Anigo de l’autre. C’était très fragile à mon époque déjà, mais j’avais prévenu qu’on gouvernerait à quatre, Didier, José, mon directeur général et moi. J’ai même passé mon temps à faire de la calinothérapie dans l’intérêt supérieur du club. Mon successeur ne voyait pas les choses comme ça, visiblement » a-t-il ajouté.