Plate, plate, plate...

Publié le 17 mars 2008 par Olivia Toja

Depuis sa sortie, j'écoute et je réécoute "Caravane".
Depuis quelques semaines, je me passe "Le vent de l'hiver" en boucle.
J'attendais donc avec impatience la sortie de "Je sais que la terre est plate" aujourd'hui.
Zut.
Moi, j'en ai marre d'attendre des trucs et d'être déçue après. (J'ai attendu le livre de Dédé. J'aurais pas du).
A partir de maintenant, je n'attends plus rien. Fini.

Ah, c'est sûr, c'est du Raphaël. Reconnaissable entre 1000.
J'aime toujours cette fragilité, ce côté ange déchu.

Sans doute qu'il faudra que je passe et repasse le nouvel album pour en apprécier les détails... mais il me semble que la première écoute du précédent opus avait été plus "coup de foudre-esque".

En plus, je suis perplexe sur certains points : est-ce que quelqu'un peu m'expliquer l'utilité du trou du pull (ceci n'est pas une contrepétrie) sur la photo de Mondino ??? (le trou dans la chaussette de Jean-Marie Messier était plus petit il me semble).  Il y a sûrement un message là dessous, mais je ne le saisis pas (suis-je trop vieille?)

  • "j'avais pas vu que mon pull est troué, je suis tellement perdu dans ma poésie que les contingences matérielles ne me concernent pas"
  • "ma gonzesse ne s'occupe pas bien de moi : j'offre mon corps alangui à la première qui me laissera l'appeler maman"
  • "une meute de greluches s'est abattue sur moi et elles ont tout abîmé mes habits. En dessous, je suis tout griffé et j'ai bobo".

Vos suggestions seront les bienvenues.