Moi, ce qui me déprime là-dedans, c’est qu’on s’attendrait normalement à ce que la SAQ, en tant que société d’État exerçant un monopole, agisse plutôt en bon père de famille avec les consommateurs de vin que nous sommes. Qu’elle essaie à tout le moins de nous en donner pour notre argent, non pas de nous faire les poches. Car il n’y a ni arbitre, ni protecteur du citoyen «amateur de vin», ni ombudsman. L’impression que j’en ai, mais je ne sais pas ce que vous en pensez, c’est qu’au contraire, la SAQ essaie toujours de nous en passer une petite vite.---Claude Langlois
(NDLR Plus naïf que ça tu meurs!)