Il est bien évident, en partant des exégètes des différentes crises, récessions et plans de relance, que la relance donne naissance à l’austérité, soit que la perspective de résorption convenable des entraves liée à une crise, suggère, les plans d’austérité, pour une économie qui se veut dynamique et avant gardiste.
De ce point de vue, financer la relance par l’injection monétaire, bien que fortement décriée par l’approche ultra libérale de la croissance, laisse émerger, l’incapacité pour les économistes de pouvoir cerner les crises dans leur totalité, autrement à l’aide des théories et doctrines existantes.
Ce qui fait que l’extension des théories et les doctrines elles-mêmes, se trouvent, tributaires, des contraintes naturelles et des crises cycliques, à l’origine des politiques de relance, basées soit sur l’austérité, soit sur les politiques d’expansionnisme, d’où “le stop and go”
Par ailleurs, lorsque Vladimir évoque le retour des réformes structurelles, comme perspective de résolution absolue des crises et à l’aune des mesures innovantes, on sent son souci de prôner la rigueur budgétaire et la résorption des déficits, quoi que non assortie, d’une approche qui se démarque de celles existantes.
De ce constat, il en émane, que la théorie économique, tout comme la majeur partie des disciplines scientifiques, s’épanchent et prennent corps et vigueur, à mon sens, au sein des conjonctures épisodiques qui les font butter contre, les marges inexplorées des champs d’applicabilité auxquelles elles se rapportent.
Ainsi, amplifier le souhait formulé par Vladimir, en définitive, d’un meilleur fonctionnement de l’économie, en récusant la relance et l’austérité, au profit de la stabilité et la cohérence du cadre économique, vient poser les jalons d’une marge d’exploration conséquente de la sphère économique.
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