En point de départ : le cambriolage qui tourne mal d’une jeune héroïne naïve (Chloé Coulloud), coincée dans une ville de Bretagne un peu triste, un stage d’infirmière un peu chiant. Nuit d’Halloween, demeure lugubre, vieille dame inquiétante dans le coma : le ton est donné. Livide abat ses cartes (trop ?) tranquillement, - noyant toute sa première partie dans des longueurs inutiles et mal exploitées (la peinture des protagonistes est nullissime). Ce n’est que lorsqu’ils se lâchent enfin, que les deux réalisateurs retrouvent la sauvagerie classe qui a bâtit leur petite réputation. Au final, on est quelque part entre cinéma italien d’antan (Argento) et la nouvelle vague espagnole d’aujourd’hui. Tout n’est pas parfait (casting masculin à la traîne, onirisme un peu creux, trouillomètre pas toujours au plus haut) mais leur volonté d’oser tout, sans peur de déplaire, remporte l’adhésion.
En point de départ : le cambriolage qui tourne mal d’une jeune héroïne naïve (Chloé Coulloud), coincée dans une ville de Bretagne un peu triste, un stage d’infirmière un peu chiant. Nuit d’Halloween, demeure lugubre, vieille dame inquiétante dans le coma : le ton est donné. Livide abat ses cartes (trop ?) tranquillement, - noyant toute sa première partie dans des longueurs inutiles et mal exploitées (la peinture des protagonistes est nullissime). Ce n’est que lorsqu’ils se lâchent enfin, que les deux réalisateurs retrouvent la sauvagerie classe qui a bâtit leur petite réputation. Au final, on est quelque part entre cinéma italien d’antan (Argento) et la nouvelle vague espagnole d’aujourd’hui. Tout n’est pas parfait (casting masculin à la traîne, onirisme un peu creux, trouillomètre pas toujours au plus haut) mais leur volonté d’oser tout, sans peur de déplaire, remporte l’adhésion.