Dans la lignée des fragrances masculines et sportives sorties par un collectif de marques toujours plus large, Kenzo est aussi dans la course.
Ce nouveau jus est sur les rayonnages de toutes les bonnes parfumeries de France et de Navarre depuis trois semaines maintenant. Intégré à un flacon en forme de bambou de verre bleu-gris, il reflète de belles odeurs boisées et épicées de cèdre et de gingembre une fois que la note de tête fruitée et un peu trop pétillante s’est évaporée.
C’est le nez LVMH François Demachy – à qui l’on doit notamment le célèbre Diva d’Ungaro – qui en est le démiurge. Dans une certaine folie créatrice, il a mêlé avec maestria les accents de pamplemousse aux odeurs presque brulées du bois noble. Loin des déodorants-parfums Adidas, qui revêtent ce caractère sportif qui ne sied pas à tous le monde, c’est grâce aux élégantes senteurs poivrées dans la droite lignée du défunt Kenzo Air, que l’on retrouve la patte caractéristique de la marque. C’est donc un parfum sportif, mais sans l’être vraiment ; il a une bonne odeur d’été, et convient mieux sur une serviette de plage que sur un costume de bureau.
Vous avez peut-être remarqué ce spot publicitaire sur le petit écran, avec force gros plans abdominaux, voiliers et mer déchainée ? Eh bien c’est ça, le nouveau Kenzo. Un banc de sable paradisiaque en Thaïlande, du rire et un babyfoot.
Nicolas Cazalé : athlète, comédien, réalisateur, peintre... et égérie Kenzo à ses heures perdues.
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