Deux explications subsistent.
La première vient du fait que les marchands des 3 communes qui se rendaient à Strasbourg cheminaient avec des charrettes à chiens ( la distance et la pauvreté ne permettant pas le recours au cheval). On trouve ainsi de nombreuses allusions à ces charrettes dans les imagiers et la vaisselle de Loux.
Les tanneurs faisaient en outre appel à des ramasseurs de crottes. En effet, les déjections d’animaux carnivores contiennent un acide qui rongeait la graisse qui adhéraient encore aux cuirs et peaux. Ceux-ci macéraient donc dans un « bain » qui permettait de les blanchir et les assouplir.
Tout s’analyse donc …et au moins, à l’époque, on avait donc une solution pour les crottes de chiens qui polluent rues, pelouses et parcs.
À propos : Rédacteur et Community Manager, Stéphane Bourhis a créé l’agence Red-Act en 2004 à Strasbourg. Celle-ci s’est spécialisée dans la création de contenus et leur intégration dans les stratégies de communication internet et sociales des entreprises et collectivités [www.red-act.com ]