Depuis l'élection de François Hollande, on parle beaucoup de Madame Trierweiler et les anecdotes qui sont rapportées par la presse sont très étonnantes. En effet, comme chacun sait, le socialisme c'est la tolérance, l'ouverture d'esprit, la générosité, l'altruisme, patati et patata. En découvrant les différents évènements qui ont impliqué directement ou indirectement la nouvelle première dame de France, nous sommes plus proches du sectarisme, de l'intimidation, des menaces à peine voilées et de l'autoritarisme.
Les journalistes savent maintenant qu'un simple tweet évoquant Madame Trierweiler peut leur faire perdre leur travail. Ce fut le cas cette semaine de Pierre Salviac. Les socialistes ont découvert que c'est elle qui décide si une personne a le droit de s'approcher du nouveau président. Julien Dray a été refoulé du pot organisé par le staff de campagne autour de François Hollande et c'est madame qui en a décidé ainsi. Lire ici. Les journalistes doivent également faire attention à ce qu'ils écrivent. Si une phrase ne lui convient pas, madame envoie immédiatement un SMS qui rappelle le journaliste à l'ordre.
Si des animateurs s'amusent à faire des gags téléphoniques Madame Trierweiler devient menaçante : " j'aurai votre numéro de téléphone", "je m'en souviendrai"....Voir ici.
Le plus simple pour se faire une idée de l'état d'esprit de Madame Trierweiler, c'est de lire ce qu'en pense l'entourage direct de François Hollande : "Quand on lui parle, on ne sait jamais comment elle va réagir. Ça me paralyse. Du coup, je l'évite." "Elle est pire que Cécilia. C'est elle qui fait le gouvernement !" Lire ici.
A quoi joue Madame Trierweiler ? Les Français pensaient avoir élu un président ? En réalité, ils ont élu un président et une vice-présidente. Madame Trierweiler joue à la vice-présidente.