Et si le monde des fourmis était une inspiration de vie....

Publié le 12 mai 2012 par Marigotine

Et si on se penchait d'un peu plus près sur le style gouvernementale du monde des fourmis?

Serions nous les seuls à avoir des syndicats?

Dans tous les mandibules.Dans le monde des fourmis, aucune place n'est laissée à l'improvisation. Tout est réglé comme du papier à musique. Ainsi, ces ouvrières qui transportent des graines de mimosas dix fois plus lourdes qu'elles n'en tirent aucune fierté. Et ne reçoivent aucune gratification de la part des autres membres de la fourmilière. C'est ainsi. Entant qu'ouvrières, elles doivent accomplir chaque jour des exploits pour permettre à la communauté de survivre. D'autres, équipées d'impressionnantes mâchoires, défendent l'entrée du palais et jouent les gardes chiourmes. Certaines ne quittent jamais lanursery, tandis que les plus fortes triment… Chez ces insectes sociaux, le destin est décidé avant la naissance et rien ne peut le changer." title="Et si le monde des fourmis était une inspiration de vie...." />Dans tous les mandibules.Dans le monde des fourmis, aucune place n'est laissée à l'improvisation. Tout est réglé comme du papier à musique. Ainsi, ces ouvrières qui transportent des graines de mimosas dix fois plus lourdes qu'elles n'en tirent aucune fierté. Et ne reçoivent aucune gratification de la part des autres membres de la fourmilière. C'est ainsi. Entant qu'ouvrières, elles doivent accomplir chaque jour des exploits pour permettre à la communauté de survivre. D'autres, équipées d'impressionnantes mâchoires, défendent l'entrée du palais et jouent les gardes chiourmes. Certaines ne quittent jamais lanursery, tandis que les plus fortes triment… Chez ces insectes sociaux, le destin est décidé avant la naissance et rien ne peut le changer." border="0" />  Dans le monde des fourmis, aucune place n'est laissée à l'improvisation. Tout est réglé comme du papier à musique. Ainsi, ces ouvrières qui transportent des graines de mimosas dix fois plus lourdes qu'elles n'en tirent aucune fierté. Et ne reçoivent aucune gratification de la part des autres membres de la fourmilière. C'est ainsi. Entant qu'ouvrières, elles doivent accomplir chaque jour des exploits pour permettre à la communauté de survivre. D'autres, équipées d'impressionnantes mâchoires, défendent l'entrée du palais et jouent les gardes chiourmes. Certaines ne quittent jamais lanursery, tandis que les plus fortes triment… Chez ces insectes sociaux, le destin est décidé avant la naissance et rien ne peut le changer. Crédits photo : EKO ADIYANTO/CATERS NEWS/SIPA/SIPA C'est bien connu l'union fait la force.... Cette "parade nuptiale" toute de rouge vêtue    ...l'excitation doit être à son comble! Rassurons nous il n'y a pas de taureaux dans l'assistance!    Je parle du signe astrologique chinois.
ça va de soit tout de même.... Le rouge est mis. Pour célébrer dignement leurs mariages, ces 130 couples venus de toute laChine, rêvaient de vivre cette cérémonie comme au temps de la dynastie des Han. Impossible, inimaginable même, il y a une dizaine d'années, leur souhait estdevenu réalité le 1er mai dernier à Xi'an, dans la province du Shaanxi. Le choix de Xi'an n'est pas un hasard, puisque cette ville abrite le célèbre mausolée du fondateur de la Chine moderne, l'empereur Qin,enterré avec ses milliers de guerriers d'argile. Un tombeau démesuré construit vers 210 avant notre ère. Vêtus de rouge, couleur du bonheur en Chine, ces jeunes mariés répètent,comme au théâtre, les gestes millénaires des nobles des temps anciens.Une nouvelle Révolution culturelle, conservatrice cette fois." title="Et si le monde des fourmis était une inspiration de vie...." />Le rouge est mis. Pour célébrer dignement leurs mariages, ces 130 couples venus de toute laChine, rêvaient de vivre cette cérémonie comme au temps de la dynastie des Han. Impossible, inimaginable même, il y a une dizaine d'années, leur souhait estdevenu réalité le 1er mai dernier à Xi'an, dans la province du Shaanxi. Le choix de Xi'an n'est pas un hasard, puisque cette ville abrite le célèbre mausolée du fondateur de la Chine moderne, l'empereur Qin,enterré avec ses milliers de guerriers d'argile. Un tombeau démesuré construit vers 210 avant notre ère. Vêtus de rouge, couleur du bonheur en Chine, ces jeunes mariés répètent,comme au théâtre, les gestes millénaires des nobles des temps anciens.Une nouvelle Révolution culturelle, conservatrice cette fois." border="0" />   Pour célébrer dignement leurs mariages, ces 130 couples venus de toute laChine, rêvaient de vivre cette cérémonie comme au temps de la dynastie des Han. Impossible, inimaginable même, il y a une dizaine d'années, leur souhait estdevenu réalité le 1er mai dernier à Xi'an, dans la province du Shaanxi. Le choix de Xi'an n'est pas un hasard, puisque cette ville abrite le célèbre mausolée du fondateur de la Chine moderne, l'empereur Qin,enterré avec ses milliers de guerriers d'argile. Un tombeau démesuré construit vers 210 avant notre ère. Vêtus de rouge, couleur du bonheur en Chine, ces jeunes mariés répètent,comme au théâtre, les gestes millénaires des nobles des temps anciens.Une nouvelle Révolution culturelle, conservatrice cette fois. Crédits photo : China Daily/Reuters/REUTERS Alors toi mon "pépère" t'as pas l'air très "gay" tout seul dans ton wagon... Là où tout a commencé. C'est un symbole fort.Très ému,l eprésident américain Barack Obama regardepar la fenêtre du bus où Rosa Parks, figure de la lutte contre la ségrégation raciale aux EtatsUnis, a commencé son combat, le 1er décembre 1955, à Montgomery, dans l'Alabama. Ce jour là, dans ce bus conservé aujourd'hui par le musée Henry Ford de Dearborn (Michigan), la jeune couturière noire refuse pour la première fois de céder sa place à un Blanc. Arrêtée par la police, elle estcondamnée à payer une amendede 15 dollars. Mais elle fait appel. Martin Luther King, un jeune pasteur noir de 26 ans, lance alors une campagne de boycott contre la compagnie de bus. Elle durera 381 jours et entraînera la fin de la ségrégation dans les transports. Crédits photo : PETE SOUZA/WHITE HOUSE/The White House  Coucou les jeunes "The Voice" c'est moi.... Commémorations. Après la cérémonie du 8 mai, c'est son deuxième acte symbolique en tant que président de la République élu. Dans le jardin du Luxembourg, en présence du président PS du Sénat, Jean-Pierre Bel, et du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, François Hollande s'est rendu à la 7e commémoration de l'abolition de l'esclavage. «Je voulais donner ce message de rassemblement autour de nos mémoires et de ce qu'est notre histoire», a déclaré le président élu en marge de la cérémonie au cours de laquelle il n'a pas pris la parole. «J'étais heureux de me retrouver au milieu des autorités de la République, de jeunes et de représentants des divers pays, car la traite, l'esclavage ont été hélas des phénomènes mondiaux», ajoute le chef de l'Etat. François Hollande entend aussi envoyé un message aux jeunes générations. «L'histoire de l'esclavage a longtemps été occulté. Et pour des générations, la mienne notamment, n'était transmis que l'abolition et pas ce qui s'était produit avant, c'est-à-dire l'esclavage lui-même»." title="Et si le monde des fourmis était une inspiration de vie...." />Commémorations. Après la cérémonie du 8 mai, c'est son deuxième acte symbolique en tant que président de la République élu. Dans le jardin du Luxembourg, en présence du président PS du Sénat, Jean-Pierre Bel, et du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, François Hollande s'est rendu à la 7e commémoration de l'abolition de l'esclavage. «Je voulais donner ce message de rassemblement autour de nos mémoires et de ce qu'est notre histoire», a déclaré le président élu en marge de la cérémonie au cours de laquelle il n'a pas pris la parole. «J'étais heureux de me retrouver au milieu des autorités de la République, de jeunes et de représentants des divers pays, car la traite, l'esclavage ont été hélas des phénomènes mondiaux», ajoute le chef de l'Etat. François Hollande entend aussi envoyé un message aux jeunes générations. «L'histoire de l'esclavage a longtemps été occulté. Et pour des générations, la mienne notamment, n'était transmis que l'abolition et pas ce qui s'était produit avant, c'est-à-dire l'esclavage lui-même»." border="0" />   Après la cérémonie du 8 mai, c'est son deuxième acte symbolique en tant que président de la République élu. Dans le jardin du Luxembourg, en présence du président PS du Sénat, Jean-Pierre Bel, et du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, François Hollande s'est rendu à la 7e commémoration de l'abolition de l'esclavage. «Je voulais donner ce message de rassemblement autour de nos mémoires et de ce qu'est notre histoire», a déclaré le président élu en marge de la cérémonie au cours de laquelle il n'a pas pris la parole. «J'étais heureux de me retrouver au milieu des autorités de la République, de jeunes et de représentants des divers pays, car la traite, l'esclavage ont été hélas des phénomènes mondiaux», ajoute le chef de l'Etat. François Hollande entend aussi envoyé un message aux jeunes générations. «L'histoire de l'esclavage a longtemps été occulté. Et pour des générations, la mienne notamment, n'était transmis que l'abolition et pas ce qui s'était produit avant, c'est-à-dire l'esclavage lui-même». Crédits photo : FRANCOIS MORI/AFP T'inquiète Dmitri 6ans c'est pas long.... C'est pas pour moi que je m'inquitète "Vladimir" ! Parade. Le président Vladimir Poutine a prononcé ce mercredi un discours aux accents patriotiques lors d'un défilé militaire sur la place Rouge pour commémorer la victoire de 1945 sur l'Allemagne nazie, et a déclaré qu'il entendait renforcer la voix de la Russie sur la scène internationale. Du haut de la tribune, il a ensuite assisté au défilé des régiments au pas de l'oie, des chars et des camions lance-missiles, avec, à ses côtés, les plus hauts gradés de l'armée russe et un Dmitri Medvedev redevenu premier ministre. Au surlendemain de son investiture à la présidence pour un mandat de six ans, il a lancé un vibrant appel à l'unité nationale, alors même que le pays vient de connaître, dimanche, une série de manifestations contre son retour au Kremlin. Après les grandes protestations contre les résultats, jugés frauduleux par l'opposition des législatives du 4 décembre, le nouveau chef de l'Etat va devoir réaffirmer son autorité sur le pays, même s'il n'a jamais quitté le pouvoir." title="Et si le monde des fourmis était une inspiration de vie...." />Parade. Le président Vladimir Poutine a prononcé ce mercredi un discours aux accents patriotiques lors d'un défilé militaire sur la place Rouge pour commémorer la victoire de 1945 sur l'Allemagne nazie, et a déclaré qu'il entendait renforcer la voix de la Russie sur la scène internationale. Du haut de la tribune, il a ensuite assisté au défilé des régiments au pas de l'oie, des chars et des camions lance-missiles, avec, à ses côtés, les plus hauts gradés de l'armée russe et un Dmitri Medvedev redevenu premier ministre. Au surlendemain de son investiture à la présidence pour un mandat de six ans, il a lancé un vibrant appel à l'unité nationale, alors même que le pays vient de connaître, dimanche, une série de manifestations contre son retour au Kremlin. Après les grandes protestations contre les résultats, jugés frauduleux par l'opposition des législatives du 4 décembre, le nouveau chef de l'Etat va devoir réaffirmer son autorité sur le pays, même s'il n'a jamais quitté le pouvoir." border="0" />  Le président Vladimir Poutine a prononcé ce mercredi un discours aux accents patriotiques lors d'un défilé militaire sur la place Rouge pour commémorer la victoire de 1945 sur l'Allemagne nazie, et a déclaré qu'il entendait renforcer la voix de la Russie sur la scène internationale. Du haut de la tribune, il a ensuite assisté au défilé des régiments au pas de l'oie, des chars et des camions lance-missiles, avec, à ses côtés, les plus hauts gradés de l'armée russe et un Dmitri Medvedev redevenu premier ministre. Au surlendemain de son investiture à la présidence pour un mandat de six ans, il a lancé un vibrant appel à l'unité nationale, alors même que le pays vient de connaître, dimanche, une série de manifestations contre son retour au Kremlin. Après les grandes protestations contre les résultats, jugés frauduleux par l'opposition des législatives du 4 décembre, le nouveau chef de l'Etat va devoir réaffirmer son autorité sur le pays, même s'il n'a jamais quitté le pouvoir. Crédits photo : Rodionov Vladimir/Rodionov Vladimir/Itar-Tass/ABAC