Ainsi va l'humain... Vous... Moi... Un désir d'espérance si fort qu'il nous invite à ré écrire une histoire collective. Sur les murs. De strate en state, les murs de l'histoire d'une nation se couvrent de sublimes fulgurances. Les personnages changent. Les murs aussi. Pas les fulgurances. Parce qu'il est écrit que l'espérance est le dernier bastion de nos fragiles destinées. Celui qui, comme une marée soudaine, nous remet en mouvement. J'aime infiniment ces temps nouveaux, ceux que l'on nomme "des états de grâce".
De l'espérance, oui... Rien de plus, dans l'instant.