Depuis quelques temps, de très nombreuses incertitudes entourent l’avenir du Fonds mondial contre le sida, le paludisme et la tuberculose. Ainsi, récemment on a appris que 140 postes pourraient être supprimés au sein du Fonds.
Mais surtout, les donateurs se font plus pingres pour alimenter ce fonds qui permet notamment aux malades de nombreux pays pauvres d’obtenir des traitements antirétroviraux et donc de vivre. Pour mémoire, près de deux millions de personnes continuent à mourir annuellement du VIH/sida alors qu’on pourrait éviter l’immense majorité de ces décès.
Il est donc temps que les Etats se mobilisent, notammentla France, pour éviter cette scandaleuse hécatombe.
Avec un peu de volonté politique, on peut sauver des millions d’enfants, de femmes et d’hommes. Ca vaut la peine, non ?