La firme de Cupertino visait au départ la nouvelle technologie de Sharp, nommée IGZO, plus lumineuse, plus fine et moins énergivore qu'un écran actuel. Mais devant les millions d'écrans nécessaires, le géant nippon n'aurait pas été en mesure de satisfaire les demandes d'Apple.
La société se serait donc contenté d'une technologie déjà éprouvée, quitte à faire quelques concessions pour alimenter les nouveaux pixels (le nouvel iPad est plus lourd, plus épais et met bien plus longtemps à se recharger du fait de sa batterie plus importante).