out ce qu'un homme réussit
et tout ce dans quoi il échoue dépend directement de ses pensées.
La faiblesse et la force d'un homme,
sa pureté et son impureté, sont siennes
et non pas celles d'autrui :
c'est lui qui les attire, ce n'est pas un autre.
Lui seul peut les modifier et personne d'autre.
Sa condition est également sienne et n'appartient pas à un autre.
Ses souffrances et ses joies viennent de lui.
L'homme est ce qu'il pense.
Il demeure ce que sont ses pensées.
Personne, ormis lui-même, ne peut modifier sa condition.
Og Mandino